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 Medar X'aelis [>> Na / Lu]

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Medar X'aelis
Plume Rayonnante
Mil / Séraphin
Plume RayonnanteMil / Séraphin
Medar X'aelis

Inscrit(e) le : 22/03/2009
Âge : 30
Messages : 121

| MEMBRE |
ACTIF
Messages RP : 14
Statut RP : Militaire / Unité de la Caste des Séraphins (II)
Localisation RP : Farfan
Vent
Capacité Spé. : Vol
Double-Compte : Aucun

Informations Personnage
Age: 20~30 ans physiquement
Animal: Aucun (pour l'instant)
Pouvoirs & Armes:
Medar X'aelis [>> Na / Lu] Vide
MessageSujet: Medar X'aelis [>> Na / Lu]   Medar X'aelis [>> Na / Lu] EmptyDim 22 Mar 2009 - 23:27

    Nom: X’aelis (au passage, il est apparemment mal passé dans le pseudo, si un admin avait la bonté de corriger, ce serait sympa)
    Prénom: Medar
    Surnom: Plume d’Argent
    Sexe: Masculin
    Âge: Il a arrêter de compter les années depuis bien longtemps... Physiquement, il en paraît vingt-cinq ou trente.

    Futur animal : Servarion.

    Servarion est un aigle de grande envergure. Ses plumes sont d'un brun chaud avec des reflets d'or, et ses yeux sont d'un bleu de glace. Il est très intelligent, et pas impulsif pour un sou, réfléchissant presque toujours avant de passer à l’action. La raison pour la quelle il accompagne notre héros à l’aventure reste mystérieuse, mais toujours est il qu'il lui porte une grande affection, et qu'il est généralement prêt à tout pour lui. Ses yeux glacés peuvent voir très loin, et même au travers des matières légères ou translucides (du tissus, de la glace trouble, mais pas de la pierre, par exemple).

    POSTE:
    • Classe: Militaire
    • Caste/Domaine (Mil & Civ): Militaires ~ Caste des Séraphins
    • Statut RP (Mil & Civ): Militaires ~ Unité Inférieure
    • Rang/Dénomination: Militaires ~ Séraphins

    ----------
    CAMP: BIEN
    RACE:
    Ange
    Capacité Spéciale :
    ou Vol
    Pouvoir de la LUMIERE
    ELEMENT:
    Vent


    Pouvoir


    -Danse des Plumes : Une pluie de plume se détache des ailes de Medar et se met à tourbillonner autours de lui de plus en plus vite, à tel point qu’il est impossible de les suivre. Elles sont aussi tranchantes que des lames. Les plumes peuvent aussi s’élevées dans le ciel, ou même être lancée directement depuis celui-ci. Medar peut aussi en ralentir la vitesse au besoin.

    Futurs Pouvoirs

    -Bouclier de vent : Le vent forme un bouclier autours de Medar, qui tournoie sans cesse. Très difficile à franchir, les objets que l’on lance dedans, si ils n’arrivent pas à le traverser, son alors inclus dans son tourbillonnement. De se fait, il est difficile de faire traverser du feu ou de l’eau, à moins d’y mettre une très forte pression, mais si on balance un gros cailloux avec suffisamment de puissance...

    -Tornade : Medar déclanche une tornade, généralement de taille petite, qui peut arrachée des éléments naturels modestes, tels que des cailloux, pour devenir plus dangereuse, entre autre. Si il perd le contrôle, la puissance de la tornade peut être décuplée.


    -Plume du Vent : Permet de combiner la Danse des Plumes avec sa maîtrise du vent, et notamment ses autres techniques.

    Arme

    Lavenillovienne : Le « Fléau Céleste » lui vient de ses ancêtres humains. C’est une épée longue en acier bleutée, pouvant être maniée à une ou deux mains, sans spécificités autres que d’être très résistante et très tranchante.

    Future Arme : Salrenk : Le Poignard Habile : C’est une lame courte, recourbée, à poignée d’os sculptée. Un mouvement vif effectuer par quelqu’un aillant une affinité avec le Vent permet de projetée une petite lame d’air. Elle est en outre très tranchante, et sa pointe vicieuse se glisse facilement entre les plaques des armures.

    Histoire

    Il y a plusieurs siècles de cela, par une froide nuit d’hiver, alors que l’Astre du Soir en était à son premier croissant et n’éclairait que légèrement la terre en contrebat, il vint un fils à un couple de la petite noblesse des Humains, les X’aelis. L’accouchement fut long et difficile, de sorte que se fut seulement quand les premiers rayons de l’aurore pointaient à l’horizon poussa son premier cri. Malheureusement, sa mère passa de vie à trépas peu après, n’aillant pu contempler que quelques instants le visage de son fils avant de sombrer dans les gouffres profond de la Mort. Son père, Jean X’aelis, resta donc seul à élever son seul et unique enfant, car il avait aimé sa femme de tout son cœur et de toute son âme, et qu’il ne pouvait concevoir, ou même envisager ne serait-ce qu’un seul et unique instant la possibilité, de se remarier après la mort de celle-ci pour engendrer une descendance plus nombreuse, mieux à même d’assurer son héritage.

    Il décida que, puisqu’il n’éduquerait qu’un unique fils, il devait l’éduquer aussi bien qu’il le pourrait, sans ménager ni sa peine ni ses efforts. Il fut élevé dans une idée de noblesse protégeant le peuple, et il observait souvent la populace, se mêlant parfois à elle. Bien vite, il compatit à ses malheurs, et faisait toujours tout pour les apaisés. En même temps qu’on faisait s’élever son âme, il apprit le maniement des armes, la lance et l’écu, l’arc et l’épée... c’était dans cette dernière discipline qu’il s’illustrait le plus. Il savait aussi l’art de bien parler, et ceux de la lecture et de l’écriture, car ses parents tenaient à se qu’il puisse se cultiver par lui-même. Pour son enrichissement intellectuelle, on lui apprit à user de la harpe, de la lyre et du luth, ainsi que le chant et la poésie. Et dans toutes ces choses, il montrait du talent, rendant son père fier de lui. Il était un véritable petit prodige, même si il était plus fort dans certaines matières que d’autres.

    Il était, ce qui n’arrangeait rien pour sa popularité au près des siens, incroyablement « mignon » En effet, dès sa plus tendre enfance, le fils du Sire Jean était de l’avis de tous et de toutes un magnifique petit garçon, avec ses cheveux blonds, hérités de sa défunte mère, et ses yeux d’un bleu de glace, marque bien connue de sa lignée paternelle, qu’il partageait avec son père. En grandissant, il devint se que l’on appelle généralement « beau », son regard était souvent pensif, intense mais pourtant mélancolique, et sa silhouette développa rapidement des muscles bien découpés, sans êtres gonflés à l’excès, sans une once de graisse. Il avait coutume de marcher en arme affin de protéger les gens du village où il vivait, mais aussi d’emporter sa harpe, l’instrument avec le quel il était le plus doué, affin de les distraire de leurs malheurs par de la musique ou des chants, des comptes ou des ballades, selon son inspiration, sans que cela n’émousse jamais son instinct protecteur.

    Au fil des ans, ses cheveux s’éclaircissaient encore, bien qu’ils fussent déjà d’un beau blond, mais peu de gens y prêtaient attention, car Medar était aimé de tous. De quelle vie aurait il pu rêver, quel destin aurait pu être meilleur que celui qui semblait lui être promis ? Il avait tout. L’admiration de tous, l’amitié de beaucoup, l’amour de sa famille, l’affection de son père, le talent, la richesse, et même une bonne perspective d’avenir, puisqu’il était destiné à succéder à son père. Il était parfaitement heureux de tout cela, même si la guerre tintait son âme d’une douce mélancolie, lui qui n’avais jamais aimé le fracas des armes en dehors des tournois et des duels « amicaux », où seul l’honneur était en jeu, et où nulle vie n’était prise. Il y excellait, d’ailleurs. Il avait tout se qu’il homme pouvait souhaiter, hormis la paix, mais qui peut se targuer de l’avoir jamais eu ? Il avait tout... Et il a tout perdu, ou presque, selon la loi inéluctable du Destin...

    Tout bascula quand alors qu’il avait atteint l’âge de vingt et un ans. Enfin... « basculer » n’est peut être pas le bon mot... Cela ne se passa pas en un bloc. Disons plutôt que ce fut en se temps là que les ennuis commencèrent... Il était déjà alors un Chevalier, défendant le Beau et le Juste, ne tuant jamais son adversaire que quand il ne pouvait pas l’éviter. Le premier événement qui vint détruire son bonheur, sans qu’il en prenne conscience bien qu’il ait ressenti dans son cœur une grande douleur, tel le premier coup de hache du bûcheron qui blesse l’arbre mais ne l’abat pas, et dont le végétal croit qu’il pourra finalement guérir, bien que grande soit sa souffrance. Ce premier coup fut la mort de son père bien-aimé, de l’homme qui l’avait élever avec amour et attention, de l’homme qu’il avait toujours admiré, et qu’il admirerait toujours. Ce premier coup fut un coup terrible, terrifiant, et, en vérité, il aurait pu suffire à gangrener son esprit.

    Cela survint assez stupidement, assez banalement. Pas de fin glorieuse à la tête de gens d’armes, pas d’expiation tragique entourée des siens. Juste une mort d’homme, une mort comme les autres, et pourtant, quelque part, conséquence de sa tendance à se mettre au service de son prochain quand celui-ci était en difficulté. Un jour, alors qu’il chevauchait dans la forêt avec deux compagnons, Jean X’aelis surprit une bande de brigands en pleine action, attaquant un petit groupe de marchands. Bien évidemment, il ne pu ne pas intervenir, et les chargeas avec fougue, dégainant le seul poignard qu’il avait emporté avec lui. Avec l’aide de ses amis, il réussi à mettre en fuite les bandits, s’attirant la gratitude de leurs victimes potentielles. Elles les invitèrent à partager leur repas, composés de pain frais, de poisson et de vin rouge, un grand cru dont ils faisaient le commerce. Les trois hommes acceptèrent leur reconnaissance de bon cœur et s’attablèrent.

    Ce fut là que la mort le prit, presque ridiculement. Il s’étrangla avec une arrête de poisson. Rien de ce que purent faire tant les marchands que ses compagnons de route ne purent le sauvé, et il succomba. L’un des deux cavaliers parti pour prévenir Medar de son trépas, tandis que l’autre restait pour veiller sur son corps. Quand il apprit la nouvelle, notre héros ne voulu d’abord pas y croire. Il voulu croire que l’homme était un fou ou un menteur. Il voulu nier que l’être au quel il tenait le plus n’était plus de se monde. Il fit sceller son cheval le plus rapide et parti vers le lieu de l’accident au triple galop, ne ménageant pas sa monture, contrairement à son habitude. Il tentait de se rassurer, se disant que ce n’était qu’une méprise ou qu’une farce, qu’ils en riraient tous les deux au final, et que cette course, l’angoisse qui le prenait, ne seraient que des souvenirs un peu déplaisants. Pourtant, au fond de lui-même, il n’était pas vraiment dupe...

    Quand il le vit, drapé dans la mort, ses traits emplis de sagesse et de bonté pas encore déformés par la décomposition, il s’effondra près de son cadavre, versant des larmes de pur chagrin pour la première fois de sa vie. Ainsi, la première pierre de son bonheur, celle sur la quelle tout c’était bâti, fut réduite en poussière. Il était peut être logique que tout le reste s’écroule, ne laissant que des débris éparts. Jean X’aelis fut ramené chez lui par un long cortège funèbre et mit en terre au près de sa bien aimée Catherine, sa femme. Et, encore une fois, devant la tombe de ses parents, des larmes amères roulèrent sur les joues de Medar. Pourtant, il chassa de son esprit l’amertume, dès qu’il la vit. Son père – que son âme repose en paix – lui avait apprit à toujours faire primer la bonté, tant en lui que chez les autres, quand s’était possible, et s’aurait été salir sa mémoire que de faire autrement. Il pardonna donc aux marchands, et se prépara à administrer les biens qu’il avait hérités.

    Hélas, trois fois hélas, une fois que la chute avait commencé, elle ne s’arrêtait pas, et les coups du sort s’abattirent sans pitié, comme les coups de hache sur l’arbre qui peu à peu vacille, tremble. Si lui-même aurait préféré ne jamais avoir en entre ses mains l’héritage de son géniteur, se n’était pas le cas de tous. Ainsi, deux de ses cousins, fils du frère cadet de son père, lorgnaient sur la fortune familiale. L’oncle de Medar avait en effet bien mal géré l’argent qu’il avait reçu, à part égal avec Jean, du grand-père de notre héros. Ainsi, cette branche de l’illustre famille était elle appauvrie. Et les deux frères, Henri et Charles, étaient prêt à tout pour s’approprier la part de leur cousin, qui avait elle fructifiée au cours des années. Ils vinrent prêt de lui, se présentant en ami, et lui, trop crédule, trop confiant en la bonté de la nature humaine, l’honneur des gentilshommes et l’affection familiale, ne se méfia pas et les accueillit à bras ouverts.
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MessageSujet: Re: Medar X'aelis [>> Na / Lu]   Medar X'aelis [>> Na / Lu] EmptyDim 22 Mar 2009 - 23:28

    Dans son dos, ils commencèrent à détourner le reste de la famille de lui, à savoir les enfants de leur tante, aînée de la progéniture du grand-père X’aelis. Ils leurs dirent qu’ils avaient été laissé, que, par ce qu’ils appartenaient à leur Maison par une femme, ils avaient eu une part ridiculement petite des richesses qui aurait dû leur revenir, que Jean, et maintenant Medar, s’accaparaient injustement tout ce qui était bon, ne leur laissant que des miettes. Au début, leurs murmures ne portèrent pas leurs fruits, tant leur affection pour le jeune homme était grande. Mais peu à peu, comme notre héros se laissait entraîné par ses responsabilité et laissait la mélancolie devant le malheur des autres l’envahir, se faisant moins présent au près des siens, l’amertume naquit dans les cœurs contre lui, sans même qu’il le sache, car les deux frères étaient bien trop rusés pour le laisser découvrir si facilement leur vil stratagème. C’aurait été tout mettre par terre.

    Ils s’employèrent ensuite à le calomnier auprès des petites gens, et y réussirent peu à peu avec l’aide de l’un ou l’autre de leur cousin devenu mécontent. Ils se montrèrent en même temps prodigues de leur argent, que Medar lui-même leur avait donné pour qu’ils ne soient pas dans la misère, reportant ainsi peu à peu sur leur personne l’affection des autres. Ainsi, sans qu’il s’en rende compte, d’autres pierres du mur de son bonheur furent ôtés, le fragilisant d’autant. Il fut d’autant plus facile de le décrier que ses cheveux devenaient peu à peu d’un blond très clair, presque du blanc, et que cela n’allait sans en inquiéter beaucoup. Toutefois, cela ne suffisait pas pour que Henri et Charles puissent s’emparer de la pierre qu’ils voulaient : la richesse. Il leur fallait encore aller plus loin, faire mieux que cela pour qu’il soit privé de sa fortune, et surtout pour que celle-ci leur revienne. Il leur fallu encore un peu de temps pour trouver une idée...

    Ils finirent par dénicher la bonne combine, assez simple en réalité. Ils attisèrent tant et tant la haine de l’un de leur cousin qu’il fini par défier Medar en combat singulier. L’honneur de celui-ci l’obligeait à accepter, même si il supplia plusieurs fois son parent de renoncer à en faire un duel a mort, sans succès... Ils se rencontrèrent donc le matin suivant dans le champ clos, notre héros maniant Lavenillovienne, sa lame familiale, ce qui ne fit que décupler le ressentiment de son adversaire, qui portait lui une épée courte. Certes, il était doué – les deux frères ne l’avait pas choisi par hasard – mais il ne fit pas le poids face au fils de Jean. Il n’y eu que quelques passes, les armes se croisèrent quelques fois, puis la lame courte vola dans les airs. Medar pointa son arme vers le sol, et demanda à son cousin de se rendre, d’entendre la voix de la raison. Il en profita pour ramasser son épée et se jeta sur lui en hurlant. Alors Lavenillovienne chanta une fois. Une seule...

    Le combat avait été loyal, la mort miséricordieuse et brève. Seulement, Henry et Charles – qui avaient prit soin d’être les juges du duel – répandirent des rumeurs de trahison et de coup en traître de la part de Medar. Ils y réussirent si bien que ses propres gens finirent par le chassé, alors qu’il était parfaitement innocent, et que les deux frères prirent sa place. Autant en terminer là avec ces sombres personnages en disant qu’ils se disputèrent l’argent entre eux, n’arrivant plus à s’unir. Charles assassina Henri, et leur lutte éventa leur stratagème. Un de leur cousin empoisonna Charles, avant de se faire tuer à son tour. Ainsi commença la déchéance de la Maison X’aelis, de sorte que de nos jours, il ne reste à peine que quelques débris épart de cette famille autrefois grande et puissante. Toutefois, notre héros ne le vit pas. Il ne pu que s’enfuir, emportant seulement son épée et les vêtements qu’il portait à se moment là, en sautant sur la croupe d’un de ses chevaux.

    Il se réfugia dans la forêt. Dans le bagage de sa monture, il eu la chance de retrouvée son instrument préféré, une petite harpe d’ébène, qu’il pouvait emporter avec lui. Il en tira quelques airs mélancolique en songeant qu’il avait tout perdu. De tout ce qui constituait son bonheur, il ne lui restait que son talent. Cette fois, l’arbre était tombé. Un moment, il se laissa aller à la tristesse et à l’apitoiement, mais il releva bien vite la tête. Il avait encore le talent, justement. Il n’était pas mort. Comme la jeune pousse qui grandit en se nourrissant de la souche du géant abattu, il força l’espoir à revenir en lui. Il était jeune et doué, il avait une épée et une harpe dont il savait se servir, il se ferait mercenaire ou baladin ! Il n’était pas démuni. Son ancienne vie était à jamais derrière lui, et sans doute ne retrouverait il jamais son bonheur perdu, mais il devait vivre, et non pas juste survivre. Il devait cela à la mémoire de son père, et de tout ce qu’il avait été.

    Il fit donc sa vie comme un errant libre, et il découvrit qu’il aimait la liberté et la nature. Pendant tout ces années, il aida toujours son prochain comme il le pouvait, chassant pour un tel une proie affin de lui en faire un dîner, distrayant un autre par sa musique et ses chants, en défendant un troisième contre des malandrins. Il trouva une nouvelle forme de bonheur dans cette absence de contrainte autre que son sens morale. Pourtant, cela n’égalait pas sa joie du temps de jadis, où il pouvait partagé avec d’autres, ses égaux. En résumée, la liberté ne lui convenait pas totalement, mais pourtant il choisit de la conservée, car il ne voulait pas d’autre vie, et il n’aurait pas pu imaginer qu’il lui aurait suffit de revenir chez lui, décider à reprendre son bien, pour le récupérer, tant les luttes entre ses cousins et cousines avait été chaotique et dévastatrice. A cette époque, il prit l’habitude de jouer doucement, souvent pour lui-même, le soir au coin du feu, sous le regard de la Lune et des étoiles.

    Puis vint ce fameux jour. Alors qu’il allait tranquillement son chemin sur son fidèle destrier, il entendit des cris au loin, et il lança dont sa monture au galop. Il tomba sur un combat opposant un groupe de gens, dans des chariots, luttant pour défendre leur vie, et une bande d’homme à l’air de racailles visiblement déterminer à la leur arrachée. Il bondit bien sûr dans la bataille, faisant merveille... Mais, avant qu’ils ne battent en retraite, un trait des brigands l’atteignit à l’épaule, et il tomba de son cheval. Rapidement, la fièvre monta, et les survivants de ceux qu’il venait d’aider le portèrent à l’abri. Il se souvenait d’avoir serrer la poignée de Lavenillovienne à s’en faire mal, sans savoir pourquoi ni comment. Il ne se souvient d’ailleurs de rien d’autre. A peine un vague sentiment de chaleur, sans doute dû à la fièvre, quand il tente de se rappeler...

    Il fini par se réveiller dans un endroit... blanc. Oui, blanc, c’était le mot. Il était seul, sa lame nue à la main. Etait-ce un délire ? Une émanation de la fièvre ? Ou bien l’avait on transporté là pendant qu’il était inconscient ? Il ne pouvait le savoir. Et il n’en pas le temps de s’interroger d’avantage sur la question... Car, soudain, il ne fut plus seul. Là, devant lui, se tenait un être ailé... Un Ange... Irradiant de puissance, tenant lui aussi une épée. Il comprit tout de suite qu’il allait devoir se battre, même si, encore une fois, il ne savait pas pourquoi. Un entraînement, un test, une épreuve, une mise à mort, un duel ? Mystère. L’autre attaqua, coupant court à ses réflexions. Alors qu’il avait toujours dominé tous les affrontements de sa vie, il fut là complètement dépassé. Son adversaire était plus fort, plus rapide, et visiblement plus expérimenter que lui. Même si il réussi dans les premiers temps à parer ses attaques avec son arme, il savait que ça ne durerait pas.

    L’autre lui porta finalement un coup qui le fit voler dans les airs. Haut. Trop haut. Il allait s’écraser pitoyablement ! Quand, soudain, l’incroyable se produisit : dans son dos, deux ailes se déployèrent, freinant sa chute. Des ailes ressemblant à celles de son mystérieux adversaire. Serait il... comme lui ? Dans se cas, pourquoi ne pouvait il pas, lui aussi, être si fort et si rapide ? Tandis que l’autre revenait à la charge, bondissant dans le « ciel » pour mieux le frapper du dessus, une idée le traversa. Et si c’était simplement par ce qu’il ne croyait pas cela possible ? Si c’était sa propre perception de lui-même qui le limitait ? Alors que le combattant inconnu arrivait sur lui, il considéra la folie de cette pensée, puis haussa mentalement les épaules. Il n’avait pas le choix, alors il essaya. Il se dit qu’il pouvait le faire, il oublia toutes ses craintes et toutes ses conceptions du « possible », pour se concentrer uniquement sur la bataille, sur le combat.

    Il réussi à repousser son adversaire. Alors leurs lames s’entrechoquèrent dans un ballet à la vitesse et à la fluidité impressionnantes. Mais il avait toujours le dessous sur l’autre, bien que de peu. Il fut de nouveau envoyé dans les airs, et soudain, de ses ailes toutes neuves parti un flot de plume sur celui qu’il devait bien nommer « ange », et qui n’avait visiblement pas prévu le coup. Il fut blessé en plusieurs endroits, et Medar en profita pour lui tomber dessus, prêt à le décapiter. Seulement, au moment où il allait le faire, quelque chose l’arrêta. Pourquoi allait il tuer cet homme, au fait ? Il n’y avait aucune raison ! Ce n’était pas ainsi qu’il devait faire ! Il refusait de se laisser entraîner par cette danse morbide ! Au dernier instant, il dévia son coup, et sa lame ne fit que balafrer le front de son ennemi, qui en profita pour lui mettre un coup de poing dans le ventre, l’envoyant s’étaler sur le sol.

    Sa vue se brouilla, et une voix lui parla, lui disant qu’il avait les qualités shéraphiniques, et qu’il venait de prouver qu’il en était capable. Ainsi trouva il se qui manquait à sa liberté : un but. A son réveille, il devint un Shéraphin. Depuis, il ne l’a jamais regretté...


    Description Physique :

    Medar est plutôt de haute taille, atteignant facilement le mètre nonante. Il possède une silhouette fine et élancée, sans une once de graisse pour venir l’alourdir. Ses traits sont harmonieux, emplit de beauté et de noblesse, faisant admirablement ressortir ses yeux d’un bleu de glace, froid et souvent mélancolique devant les malheurs du monde, le tout encadrée par de longs cheveux d’un blanc très pur, presque lumineux par instant. Il porte généralement une combinaison de cuir noire, qui laisse passé ses ailes toutes aussi blanches que ces cheveux, si ce n’est qu’on peut parfois y distingué des nuances de gris. Elle est retenue à l’avant par des lanières de cuir, s’ouvrant pour laisser voir son torse aux muscles bien dessinés sans être gonflés à l’excès. Il porte aussi diverses pièces d’armure, à savoir des épaulières et des genouillères, encore une fois blanche, ainsi qu’une ceinture de cuir à boucle d’acier travaillée avec art et talent.

    A cet ceinture est attaché le fourreau de son épée longue à lame d’acier bleutée, Lavenillovienne, fidèle compagne de tout une vie, mais dont il ne se sert toutefois qu’en tout dernier recours. Il porte un anneau à chaque main. Celui droite est en or massif, serti de trois petites émeraudes étincelantes. Celui de gauche est plus fin, en argent, où brille un seul saphir d’un bleu profond. C’est tout ce qui lui reste de son ancienne fortune, et le seul luxe qu’il se permet. Son corps bien découpé est rompu à de nombreuses techniques de combat, et il est capable de manier un grand nombre d’arme, encore qu’il se soit spécialisé dans les épées. Il est pourtant aussi musicien, comme en témoigne la harpe noire en ébène qu’il porte en face de son arme, et dont il joue à la perfection, l’accompagnant parfois de sa voix claire comme de la glace et cristalline comme un ruisseau de montagne chantant sur les pierres.

    Description Psychique :

    Medar porte un profond amour à la liberté et à la paix. Il abhorre la violence et la guerre des tréfonds de son âme, et ne tuera jamais qu’en tout dernier recours, si son adversaire ne lui laisse pas d’autre choix. Il préfère de loin jouer doucement de la harpe, souvent en solitaire ou en petit comité, plutôt que de combattre, mais parfois, cela devient nécessaire. Pour protéger les innocents, il est prêt à donner sa vie au besoin, et même à prendre celle d’autrui. Il défend le droit des faibles à être faible, et déteste voir les plus forts les persécutés juste par ce qu’ils ont la force. Il aime philosopher, éventuellement un verre de vin à la main, en compagnie de ses amis. Car si il est une chose qu’il prend pleinement au sérieux, c’est l’amitié. Le qualificatif « ami », il ne le donne pas à la légère, et une fois qu’il l’a donné, il ne le reprend plus, sauf si l’autre rompt le lien d’abord... Mais même ainsi, il conservera toujours une part d’affection pour lui.

    Il cultive la pitié et le pardon, affin de toujours pouvoir les prodigués à tous et à toutes. Il estime en effet que tout le monde peut changé pour revenir dans le droit chemin après s’en être écarté, même si cela lui fait douloureusement prendre conscience qu’il est tout aussi possible de s’en écarter... Ainsi, il peut parfois sembler naïf, prêt à croire en la rédemption du plus sanguinaire des Démons, mais la vie lui a inculqué un peu de méfiance. D’une nature généreuse, il est toujours prêt à aider son prochain, et supportera rarement de voir quelqu’un mourir sans rien faire, fût il un ennemi, et tentera la plus part du temps de le sauver, quitte à risquer sa propre vie. Une autre chose qu’il prend très au sérieux, c’est l’engagement prit et la parole donnée. Une fois qu’il se sera engagé, il ne reviendra jamais dessus. Il en va aussi ainsi pour son engagement dans les forces militaires des Anges, entre autre, et pour la fidélité qu’il doit à ses supérieurs.

    En effet, même si il aime profondément la liberté, ce n’est pas pour autant qu’il ne possède pas un fort respect de la hiérarchie, même si il aura de très grosses difficultés à obéir à un ordre qu’il considérera comme immorale, et ce sera la seule condition devant la quelle il pourrait désobéir. Il est très attaché à son épée, Lavenillovienne, et à ses anneaux, à telle point qu’il pourrait aller jusqu’à risquer sa vie pour eux. D’une nature agréable, quoi que souvent mélancolique devant toutes les violences de se monde, il est toujours prêt à sourire ou à discuter, et aime beaucoup les enfants, qui arrivent souvent à le mettre de bonne humeur. Si il en voit un triste, il y a de forte chance pour qu’il essaye de le réconforter à l’aide de sa harpe.

    Qualités :

    - Généreux, loyal, déterminer, homme d’honneur, fidèle en amitié, prompt à pardonner et à croire dans les autres.

    Défauts (2 min / liste):

    -Parfois trop naïf, hésite souvent à tuer, est parfois trop sûr de lui, donne souvent à son adversaire une occasion de se rendre et se met ainsi en danger.

    Comment avez-vous trouvé Zanar Requiem ? Top Site « Top des meilleurs RPG »
    Pourquoi vous êtes-vous inscrit sur Zanar Requiem ?: Je suis un peu en manque de rp en se moment... Et ce forum à l’air bien ^^

    Est-ce un Double-Compte ?: Non
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Capacité Spé. : Vol
Double-Compte : n° 2
Kokujin Mashiro

Informations Personnage
Age: 17 ans
Animal: Aucun
Pouvoirs & Armes:
Medar X'aelis [>> Na / Lu] Vide
MessageSujet: Re: Medar X'aelis [>> Na / Lu]   Medar X'aelis [>> Na / Lu] EmptyMar 24 Mar 2009 - 20:54

Bonsoir et bienvenue à toi Medar X'aelis !

J'ai trouvé que ta fiche était bien complète et assez originale. J'aime beacoup ton personnage ^^

(Il est des notreuuuuuuh !!! XD)

Hum... Juste une chose : tu dois faire attention à l'orthographe. Utilise bonpatron.com pour corriger les fautes que tu pourrais faire dans tes messages RP.

Je remarque que tu ne possèdes pas ton animal pour l'instant, donc tu le rencontreras plus tard dans le jeu.

Tu vas devoir attendre qu'un admin' te valide pour que tu puisses commencer l'aventure ^^

Bonne soirée et à très bientôt sur Zanar Requiem ! ^o^
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Lavy Kamikaze
Lumière Divine
Magistrat de l'Exemption
Lumière DivineMagistrat de l'Exemption
Lavy Kamikaze

Masculin

Inscrit(e) le : 29/09/2008
Âge : 33
Messages : 308

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ADMINISTRATEUR
Messages RP : ≈ 25
Statut RP : Sous-Chef ~ Magistrat de l'Exemption
Localisation RP : Quartier des Juges - Bibliothèque Natio.
Vent
Capacité Spé. : Clairvoyance
Double-Compte : n°2
Lloyd Az'Rael

Informations Personnage
Age: 19 ans
Animal: KUBY - boule de poil magique, ailée et marron
Pouvoirs & Armes:
Medar X'aelis [>> Na / Lu] Vide
MessageSujet: Re: Medar X'aelis [>> Na / Lu]   Medar X'aelis [>> Na / Lu] EmptyDim 29 Mar 2009 - 0:28

Bonjour et Bienvenue sur Zanar Requiem Medar
On c'est déjà croisé sur la CB

Bon je n'irais pas par quatre milles chemin ... Ta fiche respecte bien les critères, voir les surpasse, c'est bien ... j'espère que tu pourras développer autant que nécessaire ton personnage pendant le RP Wink

En conclusion et sans plus de fioriture.
Fiche VALIDEE !

Bienvenue désormais dans le RP du monde merveilleux de Z-R Wink
Et le détails de ton personnage (que j'ajouterais avant la fin de la journée Wink)
    - ton Groupe = Anges
    - ton Rang = Mil / Seraphin -- Novice
    - ta Feuille de Personnage = Informations Personnage

[Sur ce, rendez-vous dans ce topic-ci pour débuter le RPG !]


/!\ N'oublie pas de comptabiliser TES "Messages RP" en modifiant le champ correspondant dans ton Profil /!\

/!\ N'oublie pas d'indiquer tes liens avec d'autres personnage du forum dans ta signature Wink
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