Zanar Requiem
| Bienvenue |

Rejoignez-nous dans l'univers fantastique de Zanar Requiem,
où se mèle combats, magie, aventures et mystères !

Incarnez un Juge ou un Ange du côté du BIEN,
ou sombrez vers le MAL en jouant un Démon ou un Banni...

Nous vous attendons nombreux =)


Zanar Requiem
| Bienvenue |

Rejoignez-nous dans l'univers fantastique de Zanar Requiem,
où se mèle combats, magie, aventures et mystères !

Incarnez un Juge ou un Ange du côté du BIEN,
ou sombrez vers le MAL en jouant un Démon ou un Banni...

Nous vous attendons nombreux =)


Zanar Requiem
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Une Guerre millénaire orchestrée par des Clans avides de pouvoir... Serez-vous pour le Bien ou pour le Mal ?
 
CarteBestiaireAccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion

 

 Amrund Namidakiel

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Auteur Message
Amrund Namidakiel
Plume Rayonnante
Mil / Séraphin
Plume RayonnanteMil / Séraphin
Amrund Namidakiel

Masculin

Inscrit(e) le : 12/12/2008
Âge : 32
Messages : 142

| MEMBRE |
ACTIF
Messages RP : 15
Statut RP : Militaire / Unité de la Caste des Séraphins (II)
Localisation RP : La foret des rêves.
Vent
Capacité Spé. : Vol
Double-Compte : Aucun

Informations Personnage
Age: 18 ans
Animal: Enfant-dragon
Pouvoirs & Armes:
Amrund Namidakiel Vide
MessageSujet: Amrund Namidakiel   Amrund Namidakiel EmptyDim 14 Déc 2008 - 2:46

  • Nom : Amrund
  • Prénom : Namidakiel
  • Surnoms : Ak', Nami, Amiel
  • Sexe : Masculin
  • Âge : 18 ans


Futur Animal (nom & espèce) : Bahamut ; Doté d'une apparence inspirant le respect, ses caractéristiques ainsi que sa taille sont en pleine croissance. D'une sagesse et d'une intelligence bien supérieures aux humains, il apprend et s'adapte à une vitesse digne de sa race. Il exècre par ailleurs ces-derniers, à cause desquels sa famille a été tuée. Néanmoins, parmi les très rares exceptions, il y a celui qu'il considère comme son égal et qu'il suit plus par amitié que par obligation. On ne sait finalement que très peu de choses sur lui et les siens...
- Arme : Ses crocs, ses griffes, ses flammes
- Pouvoir : Rendre invisible


Spoiler:

POSTE
• Classe : Militaire
• Caste/Domaine (Mil & Civ) : Caste des séraphins
• Statut RP (Mil & Civ) : Plume rayonnante
• Rang/Dénomination : Séraphin

----------
CAMP : Bien
RACE : Ange
Capacité Spéciale : Vol
Pouvoir de la LUMIÈRE
Élément : Vent

Pouvoir :
  • Pouvoir à double tranchant, il réside en ses iris céruléens, capables de faire le bien ou le mal suivant leur utilisation. Si les yeux sont le miroir de l'âme, les siens permettent en effet d'en entrevoir une petite partie, celle qui se trouve à la surface des pensées d'une tierce personne. Cela comprend les sentiments, mais également les intentions latentes, lorsqu'elles régentent une action : quelqu'un qui se bat en souhaitant l'annihilation d'une race, prétextant les ordres d'un supérieur, fera inconsciemment part de cette volonté profonde. De plus, quelqu'un concentré plus intensément sur ses objectifs que sur le combat créera une sorte de bouclier, empêchant la prédiction des attaques. S'il est logique que plus le combat est long, plus cette technique est inefficace, il est également important de souligner que ce don est instable en combat. Il demande de la concentration, et ce n'est pas dans le vacarme belliqueux qu'il est le plus simple à utiliser. Bien que cela s'avèrera, au fur et à mesure de la progression in-RP, de plus en plus simple. Aucune limite d'utilisation n'est posée, sinon un bandeau lorsque le personnage sera suffisamment développé. Bandeau à travers lequel sa faculté permettra de voir plus ou moins, et qui empêchera son utilisation abusive. "Tes prunelles sont ce que tu as de plus merveilleux ; ils renferment ton esprit, ou plutôt, ils m'en font la confession."
  • [Obtenu après validation de l'épreuve des Apprentis, le 25/07/09] Sphèrétoile ; Forme une "barrière" sphérique translucide autour du personnage, et utilise la maîtrise du vent pour accélérer ses propres attaques dans cette zone. Le but premier est d'en faire une défense optimale, mais étant basé sur sa maîtrise du vent, il lui faudra du temps avant de la contrôler entièrement. Quant au moyen de l'utiliser, il s'en sert pour dévier les attaques et viser entre autre les oreilles, de sorte à faire perdre le sens de l'équilibre à ses ennemis, ou à leur infliger une migraine. Autre spécificité : puisque la forme ronde de cette "attaque" correspond aux mouvements de celui qui l'utilise (dépendant donc de l'arme par exemple), il est extrêmement difficile de bouger tout en l'activant. "Domaine d'harmonie, liberté inviolable, Sphèrétoile."

Futurs Pouvoir :
  • Sagacité ; Permet la copie d'une seule technique à la fois, tant que celle-ci ne requiert rien que seule la cible puisse posséder (Caractéristique physique particulière, objet unique etc...) .
  • Brûlespoir ; Forme une boule ignescente dans chaque main, qui peuvent être absorbées par une arme ou une personne pour la rendre temporairement plus puissante et rapide. Elles peuvent également provoquer une explosion extrêmement intense lorsqu'elles s'entrechoquent. Une capacité ultime qui en plus d'être longue à incanter, demande un temps de repos considérable. "Requiem igné, submerge de ton éclat éthéré ces âmes blasphématrices. Châtiés soient ces dépravés... Brûlespoir !"


Arme : Type : épée courbée, Katana.
Son manche est partiellement recouvert d'une sorte de bandage jaune, tout comme la base de son fourreau. le milieu de celui-ci est ceinturé d'un ornement dont les courbes font penser à des fleurs, ainsi que son extrémité. Le reste de celui-ci est d'un orange tirant sur le marron, parsemé d'une multitude de grains de couleur plus foncée. Sur sa partie comportant les bandages, un noeud élégant donne à l'arme, lorsqu'elle est rangée, un aspect décoratif. La lame quant à elle, est particulièrement tranchante et résistante, et légèrement dorée.
Spoiler:

Future Arme : Type : Duo d'éventails.
Débordant d'une énergie violette, Namidakiel les garde dans ses manches, sous ses avant-bras. En un simple geste, il peut les dégainer et tout aussi rapidement les faire disparaître... Sur chacune des armes a été gravé le mot "Persévérance", c'est pourquoi il les nomme ainsi. Pour les utiliser, il leur insuffle la puissance du vent pour matérialiser une lame, donc les éventails sont la garde. Quant à sa manière de les utiliser, il mise sur la vitesse et la précision. Ses mouvements s'assimilent ainsi à une danse létale à la vitesse foudroyante, basée sur une solide défense. Bien que de faible puissance, le but est de contre-attaquer derrière chaque attaque, en visant un point faible.

Description physique : Baguenaudant dans les rues sinueuses, vous vous retrouvez dans l'artère principale. Votre regard tombe d'abord sur un bel homme blond, qui tout aussi rapidement retombe dans la banalité malgré sa beauté linéaire. Puis une femme particulièrement bien gâtée par la nature attire votre attention avant de disparaître, quelques secondes plus tard, de la même façon. Vous continuez votre examen minutieux avant que votre oeil ne soit capté par un autre être. Vous l'observez quelques secondes avant de vous rendre à l'évidence : il est plus banal que tous ceux présents ici. Banalement différent. Ses cheveux d'un acajou cuivré dansent la guise du vent, son allure est empreinte de grâce et de fluidité. Il heurte cependant un passant, et évite une poutre qui l'aurait écrasé avec un naturel s'apparentant à une innocente candeur. Sa veste flottante, blanche, est particulièrement originale à mieux y regarder... Elle est ample, et ses extrémités sont violettes, lui donnant une certaine majesté. Son pantalon noir, tout aussi ample, lui procure également une impression d'aisance naturelle. Il se retourne vers vous. De ses yeux céruléens, il vous toise avec espièglerie. Du bout de ses lèvres naît un rictus amusé. Vous clignez des yeux, déjà at-il disparu...

Description morale : Ayant préservé des fragments de souvenirs d'une vie antérieure, il en garde les expériences déjà vécues. Ancien stratège de génie, sa principale qualité reste son sang-froid, ainsi que sa volonté. Mais il est également très réactif, ce qui explique un appétit parfois féroce qu'il se garde bien de montrer aux autres, par décence. C'est celle-ci qu'il essaie au mieux de respecter : soignant son apparence et particulièrement ses manières, il émane de lui une grâce séraphique. Sa démarche, fluide, est parfaitement discrète quelles que soient les circonstances, et son allure force le respect. Pourtant, il ne possède pas une carrure particulièrement remarquable, et son humeur joviale donne souvent une impression de fragilité physique. En effet, la force n'a pas pour lui le même intérêt, et il cherche principalement à protéger ses amis ; puisqu'il pense d'abord à eux avant lui-même, il possède une certaine naïveté. Il est néanmoins capable de faire abstraction de cette candeur lorsque la situation l'exige, bien que la plupart du temps, elle se transforme en abnégation, voire en acte suicidaire. Autre aspect de son comportement : S'il n'est pas pour lui difficile de faire confiance à quelqu'un grâce à son don, il lui est en revanche assez difficile d'éprouver plus que de l'amitié pour quelqu'un. Quant à ses goûts, il apprécie les styles anciens, et se moque du regard des autres. Il ne désespère en outre que lors de cas extrêmement rares.

Qualités : Attachant, dynamique, infatigable, honnête, espiègle, aime les arts et les lettres, stratège. Aime également commander, ou être commander par des personnes compétentes.

Défauts : Rejette l'autorité de ceux qu'il juge comme incompétents. Susceptible, sensible, trop prudent, peu sûr de lui, surestime le danger, trop haute estime de l'Amitié, déteste attendre, regarde trop souvent dans le passé.


Dernière édition par Amrund Namidakiel le Jeu 18 Déc 2008 - 6:07, édité 4 fois
Revenir en haut Aller en bas
http://www.zanar-requiem.com/anges-valides-f56/amrund-namidakiel
Amrund Namidakiel
Plume Rayonnante
Mil / Séraphin
Plume RayonnanteMil / Séraphin
Amrund Namidakiel

Masculin

Inscrit(e) le : 12/12/2008
Âge : 32
Messages : 142

| MEMBRE |
ACTIF
Messages RP : 15
Statut RP : Militaire / Unité de la Caste des Séraphins (II)
Localisation RP : La foret des rêves.
Vent
Capacité Spé. : Vol
Double-Compte : Aucun

Informations Personnage
Age: 18 ans
Animal: Enfant-dragon
Pouvoirs & Armes:
Amrund Namidakiel Vide
MessageSujet: Re: Amrund Namidakiel   Amrund Namidakiel EmptyLun 15 Déc 2008 - 0:39

Histoire (10 lignes complètes minimum):

Si vous n'aimez pas les histoires longues, passez directement au chapitre VII. Si par ailleurs vous ne voulez qu'un très bref résumé, alors lisez simplement les notes au début de chacun des chapitres. Bon courage !


Partie 1 : Une vie antérieure


I_Comment Amrund Namidakiel naquit, fut éduqué, et fut employé par un roi malgré son jeune âge.
Résumé : Une naissance banale / Une éducation complète / Premières querelles d'État.


Vous marchez le long d'un chemin à la sortie d'une forêt ; assurément, vous vous êtes (encore ?) perdu. Mais voilà un bien jeune damoiseau qui vous indiquera sûrement le chemin. Ah non, il ne sait rien. Rien d'autre que la légende. Il fait nuit, vous devez de toute façon monter un camp et attendre le lever du soleil. Vous acceptez donc de l'écouter, avec une conviction inexistante.
"Certains vous diront que c'était une nuit de pleine lune, d'autre à l'aurore, et d'autres encore lors du plus terrible orage que l'on n'eût jamais vu. Aucun n'a raison sur ce point, car c'est pendant une journée banale qu'il naquit, bien longtemps avant qu'aucun homme ne créa les mutants. Dans une ère bien antérieure, régie par des querelles incessantes, destinées à être résolues dans le sang et la haine. Il ne criait pas comme les autres enfant, mais il clignait de ses yeux azur, plus magnifiques que le saphir. Puis aussi calme qu'un ange, il s'endormit. Ses parents lui enseignèrent la joie, la gaieté, la serviabilité, la courtoisie, et enfin, ils lui apprirent comment se comporter en société et comment avoir dans sa démarche et sa manière d'agir une noblesse digne d'un roi.
Il fut initié aux armes, mais le domaine où il excellait le plus était la littérature, et la poésie. Il apprit à rimer, à couvrir de louanges les jeunes filles, à captiver du regard, ainsi qu'à faire frémir de plaisir ceux qui l'écoutaient. Et il était d'une bonté telle qu'il s'attira très rapidement la sympathie de la Cour Royale au détriment des envieux. Ce furent dix années d'extase. Les deux années qui suivirent furent d'un bonheur amoindri.

En effet, la guerre touchait à cette époque la quasi-totalité des peuples, et le dirigeant de ce royaume, bien que pacifique, fut contraint à prendre les armes, ne serait-ce que pour le bien de ses alliances. Et pour sa défense. Cela n'eût aucune influence sur Namidakiel - que tout le monde surnommait déjà Ak' - sinon une volonté de s'intéresser aux affaires de la guerre. On lui paya ainsi un précepteur qui était un ancien maître de guerre, à la retraite après de remarquables et loyaux services. "La promptitude, avançait-il, est l'essence même de la guerre" ; et son enseignement se traduisait par une victoire dans les plus brefs délais, ainsi qu'au moindre mal et aux moindres frais en vies humaines tant d'un côté que de l'autre. Il mourut dans la quinzième année du jeune homme. Celui-ci fut grandement ému par la mort de son maître, et décida de devenir l'un des plus grands des stratèges.

Mais en trois années, le pays avait été annexé. La capitale était investie par des troupes ennemies, et des généraux avide avaient choisi d'y résider. Alors le jeune homme qui était proche du roi dénommé Théodore, demanda à s'immiscer dans les affaires de l'État. Celui-ci accepta, mais ses conseillers refusèrent jusqu'à ce qu'ils furent humiliés, leurs femmes les ayant trompés pour ces étrangers. Voilà comment il fut convenu d'agir..."

II_Comment il fut convenu d'agir pour que les généraux avides qui investissaient la cité avec leurs troupes s'en aillent, et comment Namidakiel fit la rencontre de la belle Hélane.
Résumé : Le plan / Les conditions de la trêve / Hélane


"Ces hommes sont avides, et nous empêchent de nous réunir. Alors nous devons d'abord les contenter : donnons-leur de l'argent, faisons-leur tourner la tête avec de jolies femmes, et noyons leur esprit dans nos meilleurs vins. Alors ils deviendront de plus en plus négligeant. Ensuite, nous pourrons nous réunir, et quand bien même ils réuniraient dix mille soldats, avec seulement le dixième nous les vaincrons. Car ils ne sont ni préparés, ni motivés, ni unis.

C'est en suivant ce plan que les ennemis furent terrassés, et le roi auquel ils devaient obéissance les fit décapiter lorsqu'ils revinrent en leur territoire. Celui-ci, dont les forces étaient omni-présentes, décida de faire une trêve, à condition qu'il lui soit apporté deux fois par an des vierges et de l'argent en quantité. À cela Théodore consentit en raison de la peur de ses conseillers. En effet, l'homme qui récolterait femmes et monnaies était une montagne aussi agile que le vent. Un être forgé pour le combat en somme. Et Namidakiel qui avait appris de son maître comment se jouer des plus puissants gladiateurs, avait été envoyé porter un message à une ville voisine pour se présenter à son chef.

Sa fille était de toutes celles qu'il avait pu voir, de très loin la plus gracieuse : ses cheveux étaient d'une lumière stellaire ; ses yeux d'un vert émeraude ; sa peau d'une netteté divine ; son visage empreint d'une candeur et d'un calme séraphique ; chaque détail lui semblait les plus merveilleux, dans le plus beau des mondes. Il fut tout de suite saisi de mal de ventre et de vertige, ce qui ne lui était jamais arrivé. Il avait rougi et sentait une chaleur agréable et gênante. Ses mains moites tremblaient. Et il lui souriait avec le plus grand naturel. Lorsqu'ils furent seuls, ils parlèrent longuement, et rirent ensemble encore plus longuement, et rapidement vint le temps où ils devraient se quitter. Aucun d'entre eux n'avait pu, depuis que leurs regards s'étaient croisés, s'empêcher de trembler, et cela s'était accentué dans les derniers moments. "Que tout se meurt, fors notre amour" ; ils se quittèrent...

De retour en sa patrie, et en proie à une lassitude placée sous le signe de l'incessant soupir, il eût une grande surprise en apprenant la nouvelle. Le délai qu'il lui restait pour s'entraîner avant le retour du guerrier dit invincible était de 3 lunes. S'il y eût un homme qui se martyrisa plus que lui en s'entraînant, alors il fallût qu'il fût mort, ou son esprit, réduit à celui d'un brocoli, terrassé par tant de souffrance. Deux semaines de repos lui furent indispensable pour être dans la plus parfaite des formes pour l'arrivée de l'invité."

III_Comment Namidakiel vainquit Ostiphèm.
Résumé : Défie / Lutte / Coup Létal


"Il convient que les gens, lorsqu'ils n'osent parler de ce qui tourmente leurs pensées, restent passifs et attendent avec une impatience exacerbée que des réponses leurs soient données. Sans n'en rien montrer et avec toute l'innocence des enfants. Ainsi le matin était un matin comme les autres, tous comme le chant des oiseaux, l'intense éclat de l'astre ardent, le marché et son bruit matinal, et... Ah non, l'arrivée d'étrangers saccageant et pillant n'était finalement pas si habituelle que cela... Ils arrivèrent devant Théodore sans saluer et sans la moindre marque de courtoisie. Ils voulaient les femmes. Et l'or accessoirement... Mais aussi les "femelles". Indigné par de tels propos barbares, Namidakiel prit la parole :

"Si ta manière de te comporter, chevalier, est aussi déplorable que ta force est importante, tu es sûrement le plus grand maître d'arme que cette Terre connaisse. Aussi, c'est au plus grand maître d'arme que cette Terre connaisse que je vais proposer un marché, au nom du roi.
-Avorton, j'aime les défis. Que proposes-tu donc ? Je veux pas jouer à la marelle avec toi trop longtemps, j'ai des affaires dont je dois m'occuper, rétorqua-t-il avant de faire trembler le palais de son rire sonore.
-Nous nous battrons en duel, et si je gagne, tu ne devras plus jamais revenir : il faudra que tu jures sur ton membre le plus précieux ; tu n'as pas grand chose à perdre. Tandis que si tu gagnes, nous te laisserons le droit d'excéder la limite d'argent... et de vierges que tu le souhaiteras.
-Théodore, parle-t-il vraiment en ton nom ?"

Le roi inclina la tête longuement pour montrer sa coopération, alors que les ministres étaient pris de grand effroi et critiquaient déjà le jeune téméraire pour son hardiesse. Le monstre sembla baver tellement il était heureux. Assurément il n'était pas intelligent. C'est ce qui réconfortait Namidakiel, et le persuada qu'il ne pouvait perdre.

"Je me nomme Ophistèm, dit-il, et je te donne mon nom, pour que l'on puisse le graver sur ta pierre tombale, ainsi tu mourras dans l'honneur. Et puis, à toi qui me donne tant, je me sens un peu obligé de montrer quelque gratitudes !"

Ils se rendirent ensuite à l'île du Duel qui, petite, n'offrait comme seule issue qu'une seule barque. Les jambes fléchies ; un pied vers l'adversaire et l'autre perpendiculaire ; une main sur la hanche et l'autre tenant fermement son épée qui était dans l'axe du corps ; les yeux animé d'une détermination sans faille ; Namidakiel ne doutait pas. Ophistèm non plus ; la très imposante épée tenue à deux main ; le regard amusé ; les jambes tendues ; le sourire au lèvre. Ce fut lui qui donna néanmoins le premier coup, ou du moins tenta. Son attaque verticale éventra le vent, et son attaque verticale avec laquelle il enchaîna repoussa violemment l'air. Le jeune homme avait compris que pour battre un tel adversaire, il devait être en harmonie avec son rythme, et y calquer le sien jusqu'à le lui imposer.

Son adversaire comptait plus sur la force couplée de la vitesse qu'à des coups précis et létaux. Il répétait toujours la même séquence d'attaques : une verticale suivie d'un coup horizontal ; puis faisant virevolter son épée il l'écrasa lourdement contre le sol. Là, il déployait de l'énergie de sorte à repousser quiconque tenterait de l'attaquer. La première fois que Namidakiel tenta de contrer le coup horizontal, il manqua de peu de se faire transpercer. Il fit un saut en arrière pour se mettre de nouveau en sécurité, puis en garde... Puis il fut prêt pour une seconde tentative. Il avait analysé tout les gestes de son adversaire, savait comment allaient se dérouler chacun de ses assauts, et de fait, comment les contrer.

Lors du coup vertical, il plaça sa lame de sorte à dévier le fer de son adversaire puis lui fit une fente au niveau de l'abdomen. Ensuite, lors du coup horizontal, il mit sa main sur le coude de son ennemi avant qu'il ne commence l'attaque, puis l'utilisa comme un tremplin pour arriver derrière lui. De là, il lui fit une large ouverture dans le dos qui ne l'empêcha pas d'enfoncer son épée dans le sol. Mais il ne parvint pas à reproduire son onde de choc, et il était alors largement vulnérable. Namidakiel enfonça alors son épée juste à gauche de la colonne, quatrième lombaire en partant du haut. L'aorte abdominale."


Dernière édition par Amrund Namidakiel le Lun 15 Déc 2008 - 15:28, édité 3 fois
Revenir en haut Aller en bas
http://www.zanar-requiem.com/anges-valides-f56/amrund-namidakiel
Amrund Namidakiel
Plume Rayonnante
Mil / Séraphin
Plume RayonnanteMil / Séraphin
Amrund Namidakiel

Masculin

Inscrit(e) le : 12/12/2008
Âge : 32
Messages : 142

| MEMBRE |
ACTIF
Messages RP : 15
Statut RP : Militaire / Unité de la Caste des Séraphins (II)
Localisation RP : La foret des rêves.
Vent
Capacité Spé. : Vol
Double-Compte : Aucun

Informations Personnage
Age: 18 ans
Animal: Enfant-dragon
Pouvoirs & Armes:
Amrund Namidakiel Vide
MessageSujet: Re: Amrund Namidakiel   Amrund Namidakiel EmptyLun 15 Déc 2008 - 0:42

IV_Comment les conseils de Namidakiel permirent de vaincre les cinq armées opposées.
Résumé : Quintuple opposition / Les conseils sages et avisés / Nouvelles victoires

"Deux années passèrent dans la tranquillité. Sans jamais ralentir son rythme ni son éducation, il devint rapidement un très bon guerrier, bien que de nombreux autres le dépassaient encore. Ceux-là n'étaient de toute façon pas son objectif qui était de se surpasser, jusqu'à l'infini. Jour après jour, il émerveillait tous ceux qui écoutaient sa poésie, ravissait par sa manière de combattre semblable à une danse, et emplissait de bonheur le coeur des plus malheureux grâce à ses chants. Et lorsqu'elle lui manquait trop, il retournait voir sa princesse avec qui il passait ses meilleurs moments. Théodore quant à lui, pensait en faire son héritier pour la grande estime qu'il en avait. Si héritier il y avait... En effet, d'abord trois puis cinq, ses ennemis s'apprêtaient à l'attaquer de toute parts. Le dernier gouverneur qui était encore de son côté le poussait à partir en guerre, sans quoi leur alliance serait annulée. Il demanda une solution à ses conseillers, mais aucun ne put en trouver de meilleur que les siennes. Tristes mais fier, il se retira.

"Autrefois, un roi délibérait des affaires de son gouvernement et aucun avis donné par ses ministres n'arriva à la hauteur du sien. Il quitta le Conseil l'air soucieux, et un seigneur lui demanda pourquoi avait-il l'air si soucieux. Alors, le roi de grande sagesse répondit qu'un monde ne manque jamais de sage, et un pays, d'hommes avisés. Qui réussit à avoir un sage pour maître sera un bon roi, et qui réussit à avoir un homme avisé pour précepteur sera un Dominateur. "Or, continua-t-il, voici que je n'ai aucun talent et cependant mes ministres sont encore en-dessous de moi. Notre pays est en péril." Cela inquiétait ce roi, mais vous, cela vous rassure. Quant à moi, j'éprouve une secrète appréhension.
-Et que me proposez-vous, seigneur Amrund ?
-Nous avons cinq ennemis plus nombreux que nous, et nous devons tous les vaincre. Laissez-moi passer en revue chaque pays. Tout d'abord, le premier État auxquels nous devons nous opposer est riche, et leurs hommes hardis. Leur souverain et leurs ministres ont développé une grande arrogance et sont dépensiers, traitant avec mépris leur peuple. Le gouvernement est clément, mais les salaires sont injustes. L'armée est divisée dans ses convictions et son poids est à l'avant-garde, non sur ses arrières. Aussi est-elle, quoique nombreuse, sans consistance. Pour les attaquer, nous devons la diviser en trois parties puis attaquer à sa droite et à sa gauche. Ainsi vous forcerez à la plier sous votre volonté, et elle pourra être détruite.
-Est-ce vraiment si simple ?
-Je suis bien informé, et c'est la chose la plus importante dans la guerre. Maintenant, passons au second État. Ce qui les caractérise, c'est leur force, leur relief accidenté, et leur gouvernement strict. Les récompenses et les châtiments n'y demeurent pas lettre morte. La population est opiniâtre et chacun est décidé à se battre ; c'est pourquoi leurs formations sont dispersées, et chacun se bat pour lui-même. La façon de s'y prendre est de fait par commencer opar leur offrir un quelconque avantage apparent, puis de les inciter à avancer en se retirant. Les officiers convoiteront l'appât et se laisseront séparer des généraux. Nous tirerons parti de leurs erreurs et pourchasserons leurs éléments dispersés. En tendant des embuscades et en saisissant les occasions, leurs généraux seront capturés.
Viens ensuite le troisième État. Caractérisé par sa faiblesse, son territoire est vaste, son gouvernement hésitant et sa population harassée. Aussi cet État est-il, quoique bien organisé, sans endurance. Nous frapperons brusquement et sèmerons la confusion dans son camp, pour d'abord saper le moral. Ensuite nous avancerons avec des troupes légères, puis nous nous retirerons à grande allure, épuisant ainsi l'armée ennemie. Sans même nous mesurer avec celle-ci par les armes, nous pourrons ainsi avoir raison d'eux.
Nous aurons déjà une grande puissance, mais jamais cela devra nous monter à la tête, et il nous faudra laisser les dirigeants à la tête de leurs royaumes pour mettre en place de très fortes alliances. Le quatrième État connaît une population dotée d'un tempérament pacifique. L'ordre règne au sein de son gouvernement et le peuple est harassé par les combats. Quoique bien entraînés à la guerre, les troupes méprisent leurs généraux. Les fonctionnaires sont trop bien rémunérés, aussi les officiers n'ont-ils pas la volonté de se battre jusqu'à la mort. De fait, les armées sont, quoique bien commandées, de peu d'utilité. Il faudra serrer de près leurs formations et lorsqu'elles reculeront, les poursuivre. De cette manière nous les userons.
-Tout cela me semble très prometteurs, mais est-ce vraiment si simple ?
-Vous en doutez car vous n'avez ni la connaissance de vos ennemis, ni celle de l'art de la guerre, ce pour quoi je ne peux que vous flatter grandement. Et c'est pour cela que vous avez des ministres. Maintenant, il ne reste plus qu'un État. Connus pour leur stupidité et leur honnêteté, ils sont circonspects. Ils admirent la bravoure et la justice, mais manquent d'astuce et de fourberie, c'est pourquoi ils se défendront pas, mais ne se mettront pas en campagne, ce qui fera d'eux notre dernier objectif. Il sera important de les aiguillonner et de les harceler, de marcher sur eux puis de reculer un peu et ensuite attaquer prestement leurs arrières. Alors les supérieurs seront perplexes et les subordonnés apeurés. Ils se prémuniront contre nos chars et notre cavalerie et ils tomberont devant eux. Et ainsi leurs généraux seront faits prisonniers. Tel est l'aperçu général de la situation."

La guerre contre tous ses pays à la fois dura de longues lunes, et au bout de deux années et demi, le dernier tomba. Quelle joie se fut de voir tant de massacre se finir enfin ! Théodore qui était un adepte de la Vertu fut contraint au pillage pour que ses troupes puissent vaincre, ainsi qu'à quelques guerres préventives. Mais finalement, il était enfin vainqueur, et rendit à chacun d'eux leurs terres, qui furent alors en déclin en raison de leurs défaites. C'est alors que le sixième et dernier souverain, exalté par sa soif de conquête, prit possession de chacune de ses terres. Lorsqu'il fut bien installé et que son peuple était heureux de l'avoir pour roi, lorsque celui-ci fut de nouveau capable de guerroyer, alors seulement l'alliance fut-elle détruite. Et encerclé, Théodore était de nouveau dans une mauvaise posture, en raison de sa trop grande bonté."

Vous avez écouté l'inconnu parler, et captivé vous n'avez pas vu le temps passer. Le soleil se lève, et il semblerait que l'homme veuille partir, mais il vous manque une partie de l'histoire. Finalement, après avoir bu la totalité de sa gourde, il vous tend un livre, plutôt un journal intime ou un ouvrage de ce genre. Il s'enfuit alors, ne vous laissant d'autre choix que de lire pour en apprendre un peu plus. Vous l'ouvrez, et l'écriture vous semble la plus joli et la plus agréable à lire qu'il vous fut donnée de voir. Dans un soupir traduisant votre amour pour les livres, vous commencez la lecture.

V_Le journal - quelques anecdotes de guerre.
Résumé : Liste de victoires de guerre / Mort en tant que stratège


"L'ennemi était nombreux encore une fois, trop pour que nous puissions les vaincre de front. Leur commandant n'était tout de fois aucunement prompt, c'est pourquoi nous avons recouru à la stratégie pour les vaincre. Nous avons lâché des troupeaux de bétail avec leurs gardiens, et lorsqu'ils eurent progressé un peu, nous feignîmes de battre en retraite, laissant derrière nous plusieurs milliers d'hommes, comme si nous les avions abandonnés. Aussitôt qu'il en fut informé, leur commandant fut enchanté, et il s'avança à la tête d'un très fort détachement. C'est alors que nous plaçâmes le gros de nos troupes en formation de combat sur les ailes droite et gauche, et déclenchâmes une attaque subite. Nous les avons écrasé, et massacrâmes plus de cent mille de leurs cavaliers.

Cette fois également, ils voulaient marcher sur nos terres. Mais ils voulaient prétendre pour cela avoir une raison. C'est pourquoi ils nous demandèrent un cheval. Tous les officiers pensèrent qu'ils serait préférable de ne pas le leur donner, et de leur faire la guerre. Moi, je conseilla au roi de le leur donner le plus beau que nous avions. Ensuite, ils demandèrent cinq femmes, et de la même manière, nous leur donnâmes les cinq plus belles que nous possédâmes. Incontinent, ils nous demandèrent directement des terres, et les conseillers dirent qu'il serait raisonnable d'accepter. Aussitôt nous nous préparâmes au combat, et les attaquâmes ; ils n'avaient fait aucun préparatif, et nous récupérâmes notre étalon et nos femmes, tout en les anéantissant.

Comme nous entrâmes dans la saison des inondations, le fleuve débordait, et les routes passant par les trois gorges se faisaient dangereuses. L'ennemi étant certain que nous ne les attaquerons pas ne fît aucun préparatif. À mes troupes, je tins alors un dialogue qui leur enseigna qu'il ne fallut en aucun cas laisser passer cette occasion, puisque nos forces eurent été concentrées, et notre adversaire n'en fut encore informé. Profitant que le fleuve fut en cru, nous surgîmes à l'improviste. Il n'eût aucune chance.

Nous nous préparâmes à assiéger l'un des camps adverse lorsque nous interceptâmes une unité ennemie transportant de nombreuses richesses. Une fois que nous nous en emparâmes, nous nous reposâmes longuement pour être prêt à l'offensif. Alors devant toutes mes troupes qui furent devenues riches et arrogantes, sans le moindre désir de se battre, je fis brûler toutes ces richesses. Alors je les raisonnèrent : "Les richesses et les biens de notre ennemie suffiront à enrichir plusieurs générations. Quant à vous Messieurs, vous n'avez pas encore donné votre vraie valeur. Ce que vous avez perdu ne représente qu'une petite partie de ce qui est entre leurs mains. Pourquoi vous en soucier ?" Lorsque les troupes entendirent ces paroles, elles furent prises de fureur et elles voulurent se battre. Nous infligeâmes ainsi une cuisante défaite à nos ennemis, une fois encore.

Nous nous retrouvâmes dans une situation fort dangereuse. Derrière se trouvèrent la mer et nos bateaux, et devant, l'armée ennemi. Toute fuite était impossible, et ils étaient plusieurs fois supérieurs à nous. À mes généraux, je dis : "Nous allons les anéantir, et ensuite, nous nous retrouverons pour le repas." Découragés, ils firent semblant d'être d'accord. Ensuite nous rangeâmes nos unités dos à l'eau, et en nous observant du haut de leurs parapets, les troupes ennemies éclatèrent d'un rire bruyant. Il se moquèrent de moi en ces termes : "Leur commandant ne sait pas diriger une armée !" . Je fis alors brûler les bateaux et toutes les réserves, et avec l'énergie infinie du désespoir, nous terrassâmes l'opposant. Ayant fait de leur généraux des prisonniers, je les fis décapiter après avoir pris le déjeuner devant eux, avec mes troupes.

Lorsque nous luttâmes contre le général le plus colérique de l'armée adverse, nous procédâmes comme cela. Nous commençâmes par gracier un condamné à mort et le déguisâmes en moine, lui fîmes avaler une boulette de cire et l'envoyâmes chez eux. À son arrivée, le faux moine fut emprisonné, et il parla à ceux qui l'eurent capturé de la boulette de cire qu'il rejeta bientôt dans ses selles turciques. Ouvrant la boulette, ils lurent la lettre adressée à leur chef pleine d'arrogance, et leur ministre ainsi que l'espion furent décapité. En attaquant incontinent, suivant la rage de leur chef, ils furent défait.

Finalement, malgré nos victoires, nos adversaires subsistèrent trop puissants, et nous fûmes contraint à nous réunir dans un fort. Là, l'armée ennemi ayant emporté des prisonniers, ils procédèrent à leur torture. À chacun d'eux il leur coupèrent le nez. Indignés, les hommes voulurent se battre. C'est pourquoi un espion fut envoyé, leur disant que nous aurions le sang glacé dans nos veines s'ils violaient les tombes de nos ancêtres. Ainsi ils déterrèrent les cadavres et les brûlèrent, et tous nos hommes pleurèrent à la vue d'un spectacle aussi ignoble. De cette manière je sus que les troupes étaient prêtes, et rien ne parvint à stopper notre rage guerrière.

L'ultime assaut approcha. Les troupes ennemies furent formées. Il fallut trouver un moyen de les repousser, et avec le peu de troupes qu'il nous resta, nous nous pouvions tenir longtemps. C'est pourquoi nous ouvrîmes les portes de la ville, faisant croire à l'ennemi que nous avions de nombreuses embuscades. Une partie de leur armée déserta, l'autre se battit dans la peur à tout instant de se prendre des nuées de flèches. Ainsi nous les repoussâmes une dernière fois, de sorte à ce que nous pûmes avec les troupes restantes combattre une dernière fois à l'extérieur du château pour ouvrir une percée, et que survivent certains. Tout est perdu, fors l'Amour."

VI_Le journal - Ce qui était inscrit sur la dernière page...
Résumé : Foi en la métempsychose / Un homme se tient devant vous...


"Je n'ai pas peur de mourir, car il nous est enseigné qu'une fois mort, un ange que nous n'avons su voir apparaîtra, et que ses traits dépendront de notre caractères et de nos faits. Si nous avons été vertueux et droits, alors un être lumineux naîtra. Si nous avons été injuste et avares, alors qui sait quelle horreur deviendrons-nous. Aussi comme les étoiles nous sommes immortels, et telle la lumière, nous renaîtrons sans cesse."

Lorsque vous émergez de votre lecture avec satisfaction et après avoir cligné des yeux quelques secondes, une étoile traverse le ciel, et vous la voyez nettement malgré que la matinée soit déjà finie. Vous vous apprêtez à continuer votre chemin... Un homme vous fait face, vêtu d'une tunique blanche ornée de motifs floraux également blancs, sans manche, dont les contours ont été brodés en fils d'or. Sur ses bras, son vêtement blanc et bleu fuit sous ses protèges-poignets qui se terminent en gants. Sur la cape violette qui tremble au gré du vent est représenté un tigre à l'extérieur, et le symbole du taiji à l'intérieur. Sous sa ceinture pend un morceau de vêtement rectangulaire, sur lequel un dragon est dessiné. Enfin, son ample pantalon blanc est parsemé de motifs ressemblant à des fleurs de la même couleur et s'arrête à peu près au niveau du genoux. Ses bottes blanches sont dans le même style. D'une voix infiniment calme et pure il vous prie de lui rendre son livre. Confus, vous vous exécutez, et l'étranger s'éloigne gracieusement...


Dernière édition par Amrund Namidakiel le Mar 16 Déc 2008 - 18:19, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas
http://www.zanar-requiem.com/anges-valides-f56/amrund-namidakiel
Amrund Namidakiel
Plume Rayonnante
Mil / Séraphin
Plume RayonnanteMil / Séraphin
Amrund Namidakiel

Masculin

Inscrit(e) le : 12/12/2008
Âge : 32
Messages : 142

| MEMBRE |
ACTIF
Messages RP : 15
Statut RP : Militaire / Unité de la Caste des Séraphins (II)
Localisation RP : La foret des rêves.
Vent
Capacité Spé. : Vol
Double-Compte : Aucun

Informations Personnage
Age: 18 ans
Animal: Enfant-dragon
Pouvoirs & Armes:
Amrund Namidakiel Vide
MessageSujet: Re: Amrund Namidakiel   Amrund Namidakiel EmptyLun 15 Déc 2008 - 1:00

Partie 2 : Renouveau

VII_Renaissance mouvementée
Résumé : Naissance / fuite d'une femme emportant son bébé / lutte contre 5 hommes


Le soleil vespéral inondait de lumière la plaine fleurie aux douces odeurs, bien qu'il demeurât derrière une fine pellicule nuageuse. Son halo circulaire lui donnait plus de prestance que n'importe quelle autre lumière de platine, brillant plus qu'à l'accoutumée. Sous ce magnifique firmament, dans le manteau des ténèbres, une cavalière tenait un enfant dans des draps. De celui-ci émanait une aura rayonnante.

Elle avait d'abord vu l'enfant naître, puis rayonner. Elle avait d'abord vu la joie, puis la peur. La peur qu'il fut tué, la peur qu'ils fussent tués tous les deux. Lorsque le père arriva, son coeur rata un battement. Dans ses yeux scintillaient les flammes du courroux. Il ne souhaitait pas cet enfant, qu'elle le lui ait caché rendait la chose encore plus insupportable. Il n'était pas désiré. Elle eut le temps de poser le nouveau-né, de prendre la première chose à portée - une vase contenant des fleurs de piètre beauté - et d'en assommer l'homme. Celui-ci se leva prestement, déjà la femme et l'enfant étaient-ils dehors...

Sa respiration saccadée se répandait en un nuage de crainte, à laquelle se joignaient les cris du bébé apeuré. Dans sa course, elle aperçut et prit une hache, avant d'atteindre l'écurie. Là, elle monta sur le plus rapide destrier et partit aussitôt. Si bien qu'elle fut rapidement loin de ce foyer infernal. Elle pensait avoir réussi. Elle pensait qu'elle et son enfant étaient désormais libres. Elle se calma alors, et de sa plus douce voix elle incita son bébé à ne plus crier. Déjà il était rassuré. Et ils galopèrent, lui en dormant paisiblement, elle en pleurant tendrement.

Ils étaient arrivés à une plaine de laquelle s'échappait une douce odeur. Craignant qu'il ne prît froid, elle l'enveloppa convenablement dans les draps, et le serra contre elle. Instant d'allégresse.
Puis elle entendit ses poursuivants. Ils étaient plus rapides qu'elle. Mieux armés aussi. Mais elle se savait plus compétente qu'eux. Ils se rapprochaient. Son cerveau marchait à une vitesse ahurissante. Ils étaient cinq : un archer, deux lanciers, un homme avec une hache... Et lui. Armé d'une épée, il était la seule réelle menace, mais elle surpassait celle du nombre. Il était, tout comme elle, un bon guerrier.

Le premier homme qui la rejoignit tenta directement de lui trancher la tête. Elle se pencha, saisit son bras, et lui écrasa sa hache au beau milieu de sa gorge, ne le tuant pas sur le coup. Il est sûrement inutile de vous dire combien la chute fut douloureuse. Celle-ci entraîna un des lanciers qui reprit prestement ses esprits pour revenir à la charge.
L'archer hésitait. Il avait pu, à trois ou quatre reprise, blesser la femme ou celui qu'elle tenait. Même aurait-il pu aisément toucher le cheval, mais il ne faisait rien. Lorsqu'il se décidé à lancer sa première flèche, un mouvement incontrôlé lui avait permis de fendre l'air avant de retomber par terre. Une nouvelle fois, il visa, mais s'arrêta au moment où le second lancier s'approcha assez pour attaquer.

Il ne partageait aucunement cette incertitude. À peine fut-elle à portée qu'il avait déjà tenté trois veines attaques. Ils étaient désormais l'un à côté de l'autre. Avec un sourire malsain, il visa les côtes de la monture. Sa lance fut néanmoins déviée par le côté opposé au tranchant de la hache, si bien qu'il fut aisé à la guerrière maternelle de lui ouvrir une large plaie au niveau de l'abdomen. Aussi jugea-t-elle indispensable d'administrer un coup sur son palefroi, de sorte à ce que le blessé ne puisse revenir.

Des trois hommes restants, le plus calme était le plus passif. Voyant le lancier les rejoindre, il ordonna à l'archer de viser l'animal, précisant bien qu'il ne parlait pas de la femme.

Son destrier commençait à faiblir, c'est pourquoi il eut du mal à rejoindre la cavalière. Lorsqu'il fut à son niveau, il tenta de percer la monture, mais l'ayant anticipé, celle-ci accéléra brutalement. Puis tourna tout aussi brusquement. Une flèche se planta dans sa jambe arrière droite, et au même moment, telle une amazone sa maîtresse s'envola. Dans ce qui pouvait ressembler à une danse aérienne, elle fit s'abattre sa hache sur la tête du lancier, et agrippant son arme, elle attira le cadavre à terre.

Son carquois était vide. Malheureusement pour lui, il n'avait plus la moindre arme. Il connaissait son maître, aussi prit-il peur, et commença-t-il à se justifier. Inutile. Sa tête retomba quelque mètres plus loin, tandis qu'il demeurât quelques secondes immobile sur son cheval. Un éclair déchira le ciel au moment précis où il toucha terre. Celui-ci révéla les traits agressifs du quidam, qui lentement mit le pied à terre et dégaina son épée. Aucune parole, seulement de la haine. Du tout au tout il s'élança.

Il était doté d'une cruauté exacerbée. Ainsi voulût-il en premier lieu couper le bras qui portait le jeune nourrisson. Il tendit son épée vers son opposante, et prestement la lança, en faisant un tour sur lui-même. La lame pénétra précisément dans l'épaule de la femme. Celle-ci posa son fils, et au moment où il toucha terre, le guerrier arriva devant elle. Agrippant le manche de son arme de sa main droite, il s'éleva au-dessus de celle-ci la tête vers le bas, et le bras sous son poids lâcha instantanément. Avec dextérité, il retomba sur ses mains, se rétablit, tenta d'atteindre le nourrisson. Grâce à la force du désespoir, l'amazone parvint à éloigner son ennemi, et lança adroitement sa lance de sorte à ce que celle-ci l'atteigne au niveau du ventre. Son geste inopiné lui laissa le temps de ramasser la hache, tâchant de ne pas tenir compte des larmes qui ruisselaient sur ses joues.

Chacun était harassé, et faibles, c'était la conviction de l'une et la hargne haineuse de l'autre qui les tenaient en vie. Il fut le premier à bouger, et se précipitant sur celle qui lui faisait face, il ne l'effleura pas. Il encaissa sa riposte et la repoussa, puis aussitôt il fondit sur elle. Il voyait trouble, et elle parvint encore une fois à l'esquiver. Cette fois, ce fut elle qui le repoussa, et incontinent il revint à la charge. Tous deux avaient oublié le bambin. Il avait cessé de crier. Il avait cessé de pleurer. Il avait compris que sa mère allait mourir. Basée sur ses sentiments, sa maîtrise du vent lui permit alors de déstabiliser le démon. Celui-ci trébucha et devint une proie facile... Elle le frappa une fois au niveau du coeur. Mais elle ne se contenta pas alors d'admirer la frayeur dans son regard déformé. Elle le cogna encore et encore, le battant de toutes les forces qui lui restaient. Et lorsque la hache fut bien enfoncée entre ses deux yeux, elle s'éloigna, et pleurnicha quelque secondes. Rapidement elle se ressaisit et reprit son bébé dans ses bras...

Elle monta sur la selle d'un cheval n'ayant plus de propriétaire, et tenta vainement de stopper son hémorragie à l'aide d'un bout de vêtement. Sa souffrance n'avait d'égal que son amour pour son fils. Après un temps qui parut incalculable, elle aperçut une ferme, et un peu plus près, une femme lavait ses draps dans une rivière. Non loin d'elle, elle s'effondra, un sourire illuminant son visage.
Morte.


VIII_Enfance
Résumé : Âme de lion / Désir de voyage / Réprimande des brigands / Éveil oculaire / Départ


L'enfant avait bien grandi, et avait dépassé ses 12 ans. Dynamique, il aimait beaucoup se balader aux endroits les plus inaccessibles, faire des sauts vertigineux, et prendre des risques considérables. Mais bien qu'excellent voltigeur, il n'aimait pas se battre. Une fois, il fut parmi des enfants réunis pour être initié à l'entraînement au combat qui leur serait nécessaire. Tout le monde savait que ses parents n'étaient pas d'ici, ainsi fut-il insulté d'abandonné, de fils de catin, et alors seulement attaqua-t-il. Dans ces cas-là, sa hargne était telle que ses adversaires, terrorisés par son regard et surpassés par sa force n'avaient aucune chance. "Il est faible s'il laisse tant ses sentiments influencer son jugement" dirent certains ; "Non, c'est un lion qui dort" répondirent d'autres...

Un soir où il admirait les étoiles avec son ami d'enfance, il lui fit part de son envie qui ne pouvait être réprimée de partir. Il voulait retrouver ses véritables parents. Son père adoptif était courageux mais manquait de force ; il rêvait d'un père doté d'une force qui n'aurait d'égal que son coeur. Pour ce qui en était de sa mère, il était persuadé qu'elle était d'une tendresse infinie, et d'une beauté toute aussi grande. Aussi commençait-il à rêver de belles aventures... Il développait aussi peu à peu une soif de connaissances. Petit à petit, celui dont il était la réincarnation se déclarait.

Des brigands commencèrent à harceler les marchands, et les troupes furent rapidement mobilisées, mais elles n'étaient malheureusement pas assez nombreuses pour leur faire face. C'est probablement à partir de ce moment-là que se confirmait le talent tactique de ce jeune homme : il demanda à ce que l'on accepte les demandes des brigands, ainsi ils se feraient plus négligeant. Il leur fut apporté des bouteilles de vins lorsqu'ils leurs apprirent que le village allaient bientôt céder, et pour célébrer cela, ils festoyèrent grandement. Lorsqu'ivre ils se couchèrent tous, ils n'établirent aucun guet, et tous furent tuer dans leur sommeil. Une douce fin en somme...

Il remarqua, peu de temps après cet évènement, que son ami s'était entiché d'une fille. Il aurait souhaité lui aussi connaître ce sentiment, et il lui avait parfois semblé le ressentir, mais il en restait bien loin. Quand elle les vit se battre ensemble, il pensa à se laisser perdre pour qu'il l'impressionne. Aussi lui laissa-t-il une ouverture, fut-il légèrement blessé, et se retrouva-t-il à terre - pour la première fois - . Il croyait qu'il lui en serait reconnaissant, mais au lieu de ça, une dispute éclata. Elle aussi l'avait remarqué, et s'en apercevant, le garçon se sentit humilié que son adversaire se sente obligé de se laisser perdre. Alors il devint très agressif et se lança tête baissée sur lui.

Son oeil se réveilla à ce moment-là, et grâce à lui, il parvint à esquiver toutes les attaques, et sa riposte fut si rude que son ami vola sur plusieurs mètres. Puis son regard se posa sur la fille. Il y vit dans ses pupilles une admiration non pas pour l'homme qui était à terre, mais lui, qui sentait le poids d'un lourd fardeau. Le monde qui l'entourait lui paraissait différent. Dans les prunelles de chacun il lisait soit des insultes qui lui étaient réservées mais tues, soit d'autres choses inavouables. Une atroce migraine s'empara de lui, et il tomba.

Lorsqu'il ouvrit les yeux, il était dans un lit. Un bandeau imbibé d'eau lui avait fait descendre sa fièvre, et il était de nouveau en pleine forme... Il ne percevait plus dans la vue des autres le moindre sentiment, ce qui lui fit pousser un soupir de soulagement. Profitant que personne ne fut dans les parages, il sortit. Dès qu'il franchît la porte, les calmes lumières de platine constellant le firmament nébuleux attirèrent son attention. Il pleuvait de plus en plus faiblement La lune, princesse parmi ce spectacle stellaire, était des plus sublime. Son éclat lui fit se souvenir de quelques bribes de ce jour, mais une voix interrompit sa remembrance.

"Alors tu t'en vas... ?
-Je ne puis rester ici ; cela me semble une prison.
-Qu'en est-il de tes amis ?
-Je ne manquerai à personne.
-À moi tu me manqueras... Est-ce que tu pleures ?
-C'est seulement la pluie.
-La pluie s'est déjà arrêtée.
-Je ne pleure jamais...
-Je vois... Peut-être y a-t-il un endroit quelque part, où même un être sans coeur peut verser des larmes lorsqu'il perd quelqu'un qu'il aime.
-Peut-être...
-Laisse-moi venir avec toi.
-Pardonne-moi..."


Il se prirent dans leurs bras, puis il lui administra un coup plongeant dans un profond sommeil cette personne à qui il tenait plus qu'il ne le soupçonnait...
Déjà était-il parti.


Dernière édition par Amrund Namidakiel le Mer 17 Déc 2008 - 21:10, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas
http://www.zanar-requiem.com/anges-valides-f56/amrund-namidakiel
Amrund Namidakiel
Plume Rayonnante
Mil / Séraphin
Plume RayonnanteMil / Séraphin
Amrund Namidakiel

Masculin

Inscrit(e) le : 12/12/2008
Âge : 32
Messages : 142

| MEMBRE |
ACTIF
Messages RP : 15
Statut RP : Militaire / Unité de la Caste des Séraphins (II)
Localisation RP : La foret des rêves.
Vent
Capacité Spé. : Vol
Double-Compte : Aucun

Informations Personnage
Age: 18 ans
Animal: Enfant-dragon
Pouvoirs & Armes:
Amrund Namidakiel Vide
MessageSujet: Re: Amrund Namidakiel   Amrund Namidakiel EmptyLun 15 Déc 2008 - 19:24

IX_Une nouvelle ville.
Résumé : Arrivée dans la cité / Rencontre avec Fronh / Rébellion infantile


Haut dans le ciel clair, le soleil rayonnant offrait une chaleur salutaire. Il commençait à s'épuiser, mais aucun signe ne semblait le trahir, et il continuait inlassablement, de son habituel dynamisme. Il prenait grand plaisir à voyager, et inhalait cette liberté avec une extase qui le revigorait constamment. Si bien qu'avant qu'il ne ressente la moindre lassitude, il fut devant une ville qui lui sembla de belle architecture. Incontinent, il y entra, évitant les gardes pour s'amuser.

Il déboucha rapidement sur un marché, et malgré qu'il sembla pensif, il remarqua l'enfant qui tenta de fouiller ses poches. Avant qu'il n'ait le temps de s'excuser, il l'emporta dans une étroite ruelle, le tenant fermement le poignet. Son visage apeuré était presque attendrissant. Il s'excusa platement, et ils parlèrent tous deux quelques instants. Ainsi il en apprit qu'un môme, à la tête de plusieurs orphelins, les obligeait à voler. Celui-ci avait pour nom Leviakem. Ils se dirigèrent vers ce qui se devait d'être son repaire...

L'enfant qui disait se prénommer Fronh était impressionné par celui qui l'accompagnait. Il n'était pas taillé comme un grand guerrier, mais de par son allure fluide, il possédait une grande prestance. Là il se faisait bousculer par un passant, tandis que là il évitait une poutre d'un millimètre, qui n'aurait pas manqué de le blesser sérieusement. Là il regardait avec naïveté les bâtiments, tandis que là il analysait tout jusqu'à la moindre odeur, le moindre bruit. Son air résolu laissait s'échapper une confiance absolue, presque palpable. Ce petit être qui aurait pu sembler ridicule était vraiment imposant.
Une recrue de choix en somme...

À ses yeux, la bâtisse en ruine était un palais somptueux. Tout était tellement différent de ce qu'il avait déjà vu, et pourtant il ne se laissait pas impressionner. La grande porte à double-battant ouverte, ils entrèrent dans une vaste salle. Une vingtaine d'enfants le toisèrent d'un regard interrogateur. Sur une estrade, un fauteuil, bancale, mais assurément royal. Y était assis un adolescent de seize ou peut-être dix-sept ans. Son regard, mélange de dédain et d'arrogance exacerbée, était purement exécrable. Sur les marches menant à cette estrade se tenait une fillette, tremblante. Peut-être avait-elle la moitié de son âge. Malgré la demande de Fronh de s'abstenir, l'étranger s'approcha.

"C'est tout ? brailla l'adolescent sur son trône."

Le minuscule être devant lui semblait terrassé rien que par sa voix. Bien qu'il fût trop loin pour entendre ses excuses, il savait que sa peur excessive ne lui donnait que plus de faiblesse. Une proie facile pour l'être immoral qui était devant elle. Chaque enfant regardait la scène sans rien faire. Ils lorgnèrent leur semblable. Un halo l'entourait, d'abord faiblement, puis grandissant avec sa haine contenue. D'abord un, puis tous les enfants le suivirent. Ils étaient subjugués par ce qu'il incarnait désormais. Leur Liberté.

"Bien, alors puisque tu ne peux voler, je vais te couper un bras. Ainsi, tu pourras mendier !"

Elle avait beau le supplier, il ne changerait d'avis qu'après être passé à l'acte. Le joignant à la parole, il prit son couteau.
Il continuait d'avancer. Ses yeux était d'un bleu étincelant, pourtant leur agressivité n'avait d'égal que leur combativité.
Focalisé sur la jeune fille, son sourire pervers se serait estompé s'il apercevait tous ceux qui se dirigeaient vers lui.

"Je t'en supplie, ne me coupe pas la main ! pleurnicha-t-elle."

Les larmes ne l'avait jamais attendri, bien au contraire.

"Donne-moi une raison valable ! Rétorqua-t-il avec un plaisir évident à la terroriser."

Une voix claire, telle un lac murmurant à la nuit :

"Moi j'en ai une."

Jamais l'adolescent n'avait vu en trois mots autant d'agressivité, de conviction, et de confiance en soi. Le silence se fit absolu, écrasant, effrayant. Ses traits se déformèrent. Face à de tels saphirs chargés de mépris, il se sentit vaciller quelques secondes.

"Dis tou... commença-t-il.
-Au moindre geste, j'explose ta face déjà bien laide."

X_Lassitude
Résumé : Duel contre Leviakem / Recherche d'un autre but


Clairement impressionné par l'aura qui émanait du garçon. Vingt mômes qui avaient tous volé pour lui. Vingt mômes qui l'enrichissait. Vingt mômes qui réalisaient les plus fous de ses caprices. Vingt esclaves. Et un inconnu qui fragilisait sa suprématie. D'un revers de la main, il jeta sa victime à terre, et se mit en garde. Son opposant ne lui accorda pas plus d'importance que s'il était aussi ridiculement dangereux que la fillette qu'il avait rejointe. Il la prit dans ses bras, chassa les gouttelettes de son visage, et la calma de sa mélodieuse voix.

Irrité par cette négligence, il se précipita vers son opposant, frappa.
Il avait déjà tué plusieurs personnes, adultes comme enfants, et ne craignait aucunement de faire couler le sang. Il aimait ce liquide comme le vin. Plus encore, il se nourrissait de terreur, et il ressenti une vive excitation à l'idée de tous les voir trembler d'effroi. Après avoir mutilé le corps de l'étranger, il se plairait à admirer leurs faces épouvantée.
Il ne mutila personne...

Lorsque son coup aurait dû attendre la cible au niveau de la tempe, celle-ci s'était déjà dégagée d'un salto arrière, enchaîné par un flip-flap arrière exécuté à une seule main. Il déposa la fillette, et lentement, s'avança vers l'agresseur, d'une manière fluide, désarmé. Tenant son couteau à l'envers, il revint à la charge. Le voyageur dévia la trajectoire de son coup grâce à la paume de sa main gauche, puis agrippa son poignet de cette même main. Il colla ensuite son autre bras sur le coude de l'être déjà vaincu, fit remonter son poignet. Pour le projeter, il appliqua sa main droite sur son propre poignet gauche, et bascula de tout son poids sur le membre piégé de son opposant.

Celui-ci tomba lourdement à terre, avec une terrible souffrance au bras. Instinctivement, il mit sa main à son épaule... Grosse erreur... Sans le moindre scrupule, le petit homme prit le couteau qui gisait désormais à terre. Et l'écrasa sur la main et l'épaule de son adversaire, avec toute la haine qu'il lui inspirait. Puis le tenant par les cheveux, il martela qu'il était purement indécent d'être violent envers une jeune fille. Lorsqu'il demanda si l'être infâme avait compris, celui-ci abandonna toute fierté pour balbutier un "oui" inintelligible. Et le couteau lui fut retiré.

Comme de retour d'un long sommeil, les autres commençaient à émerger, puis parler entre eux, puis formèrent un brouhaha sans nom. Ils riaient enfin, et semblaient heureux, tandis que pour l'inconnu, plusieurs questions jaillirent. Jamais où il était né quelqu'un ne se serait comporté de la sorte, et quand bien même c'eût été le cas, jamais ils ne se seraient laissés faire.
L'arrachant à ses pensées, Fronh arriva devant lui, lui expliquant que maintenant qu'il avait vaincu leur chef, il devait prendre sa place. D'une voix harmonieuse, il leur expliqua qu'ils n'avaient besoin de personne pour les guider. Que s'ils étaient pauvre, voler quelqu'un de trop riche n'avait rien d'immoral, mais voler pour quelqu'un d'autre l'était. Ils étaient tous jeunes, avaient tous une vie à vivre. Puis ils lui demandèrent son nom. Il sourit, repensant aux bons moment passés avec ses parents adoptifs.

Son départ laissa une marque dans le coeur des enfants, mais maintenant ils se sentaient prêts à vivre normalement. Ils avaient compris la leçon, et plus personne ne les mènera jamais, mais il restait quand même inquiet. Il avait compris qu'il avait un potentiel, et il était désormais certains que maintenant, il se devait de s'entraîner. Il cherchait simplement un maître, ou quelqu'un pour lui ouvrir la voie... Mais quelle voie ? C'est pour répondre à cette question qu'il quitta la ville, en quête d'un nouveau but.
Revenir en haut Aller en bas
http://www.zanar-requiem.com/anges-valides-f56/amrund-namidakiel
Amrund Namidakiel
Plume Rayonnante
Mil / Séraphin
Plume RayonnanteMil / Séraphin
Amrund Namidakiel

Masculin

Inscrit(e) le : 12/12/2008
Âge : 32
Messages : 142

| MEMBRE |
ACTIF
Messages RP : 15
Statut RP : Militaire / Unité de la Caste des Séraphins (II)
Localisation RP : La foret des rêves.
Vent
Capacité Spé. : Vol
Double-Compte : Aucun

Informations Personnage
Age: 18 ans
Animal: Enfant-dragon
Pouvoirs & Armes:
Amrund Namidakiel Vide
MessageSujet: Re: Amrund Namidakiel   Amrund Namidakiel EmptyLun 15 Déc 2008 - 21:06

XI_Vision
Résumé : Un terrain d'entraînement : La forêt des Rêves / Onirisme / Réveil


Il pleuvait. Des gouttes de nostalgie glissaient le long de ses cheveux. Et des souvenirs qui ne lui appartenaient pas rejaillirent. Parfois, des migraines le reprenaient, et son oeil lui faisait mal. Il n'était plus l'enfant adopté. Il était une entité bien plus vieille qui s'était réincarnée, il l'avait compris. Il avait l'impression qu'il était une moitié de lui-même, et que cette entité était la partie restante, et bientôt, ils ne feraient plus qu'un. Cette pensée le fit frémir, tandis qu'il s'engagea dans une forêt.

Jamais il ne lui avait été donnée la chance de sentir une telle atmosphère. Harmonieuse, elle lui donnait l'envie de composer, et il prit une lyre qu'un enfant lui avait donné. Bien qu'il ne sache comment, il jouait à la perfection. Et même mieux. Son doux chant résonna mélodieusement, offrant à ce domaine sylvestre une ambiance onirique. Tout en jouant sa joyeuse mélopée, il commença à admirer les lieux...

Les arbres étaient verdoyants, et la végétation semblait sortir d'un rêve. Le tapis d'herbe était d'un vert intense, et l'air était d'une pureté singulière. Malgré la pluie qui n'avait cessée, cet endroit était littéralement paradisiaque. Le temps commençait à s'améliorer, et les premiers rayons de soleil firent s'élever un arc-en-ciel, puis un autre ; un troisième était même visible à ceux qui plisseraient les yeux. La chaleur augmenta rapidement, et l'humidité devint désagréable. Des flaques d'eau jonchaient le sol, et les habits mouillés n'avaient rien de confortable. Tout comme la présente situation.

Seraient-ce des loups ? Des animaux de même parenté ? Qu'importe, ils sont là. Il lui serait aisé de jouer encore jusqu'à les adoucir. Mais absolument inutile. Il rangea sa lyre. Un sourire courut le long de ses lèvres. Ses yeux ne marcheront pas. Mais le couteau nouvellement acquis parlerait pour eux.

Étoile filante dans le Ciel,
Sans quitter des yeux sont chemin,
Progression éternelle.

Plusieurs lunes passèrent. Désormais, il atteignait sa seizième année, et il contrôlait de mieux en mieux son oeil. Quant à sa vie antérieure, elle était de plus en plus liée à son esprit. Il estima qu'à ses vingt ans, il ne souffrirait plus de ses troubles de la mémoire. Il avait compris l'étendue de ses faculté, et il lui semblait inévitable qu'il existât d'autres êtres doté d'encore plus formidables pouvoirs. La Terre lui semblait grande, et il soupira longuement avant que sa soif de connaissance ne revienne. Et avec elle sa combativité.

Il sauta vers un arbre, s'agrippa, rebondit... Il lui semblait voler. Il ne s'était jamais aventuré bien loin, et pourtant il avait combattu une grande variété d'animaux, le rendant de jour en jour plus fort. Mais s'il progressait aussi vite, c'était en raison de la grande sagesse qu'il incarnait. Il laissait libre cours à ses pensées. D'un coup, il tomba. Une atroce migraine le reprit, malgré qu'il n'en avait plus eut depuis longtemps. En conséquence, il s'endormit étrangement...

Tout était blanc, à perte de vue. Blanc, et vide. Avec la plus grande difficulté, il se releva, et aperçu une épée. Elle était courbée du côté du contre-tranchant, et son manche, plutôt long, était couvert de bandages jaunes. Un anneau avait été rajouté à son extrémité, de sorte à ce qu'il produise un bruit à chaque mouvement. Agaçant et harmonieux. Agaçant pour ceux qui subissaient, harmonieux pour celui qui pouvait discuter avec lui.
Il se détacha.

Dans ce monde flou, la vision n'a aucun sens.
L'homme qui lui faisait dès lors face était jeune, ses vêtements étaient bien différents de ceux qu'il avait pu voir. Surtout, il se dégageait de lui une confiance, qui lui donnait malgré son air banal, une prestance écrasante. Il lui montra l'épée qui était entre ses mains. Longtemps ils combattirent, et ainsi, l'adolescent apprenait beaucoup de l'inconnu. Après une énième défaite, celui-ci lui tendit un bandeau : "Tu comptes trop sur tes yeux."

Loin du temps et de toute vie, deux âmes se battent ; l'un aux couleurs de l'avenir, l'autre à celles du passé. Les lames s'entrechoquent, éternel rivalité de la conscience. Il n'y a ni vainqueur ni vaincu, seulement deux épées identiques qui se frappent violemment. Bien que le même sang coule dans leur veine, les deux êtres se battent avec un acharnement inépuisable. Mais il fallait un gagnant.

La lame enfoncée dans sa poitrine, il tombe. Tombe... Combien de temps dura sa chute ? "Tu n'es pas prêt."

Son sang ne fit qu'un tour.

Il se releva, baignant dans une lumière dorée. Il arraché de son corps la lame meurtrière, et la lança à son adversaire, se jetant simultanément vers son ennemi. Celui-ci récupéra son armé tout en attaquant, et l'onde de choc balafra l'air sur plusieurs dizaines de mètres. Tout comme la suivante. La troisième n'arriva jamais.

"Parfait..."

L'apparition commençait à disparaître, en même temps que l'adolescent, interdit, retrouvait ses souvenirs. Et son âme. Instinctivement, il prit sa lyre, et commença à jouer son plus triste aria.

À son réveil, Il était vêtu étrangement, cependant, ce style ancien lui plaisait grandement. Son arme était solidement attachée à ses vêtements, et d'un bâillement millénaire, il s'éloigna. Un homme se tint rapidement devant lui. Absorbé par un livre, il n'eut aucun mal à le reconnaître... Une étoile parcourt le ciel. D'une voix infiniment calme et pure, il pria cet individu de lui rendre son livre, puis gracieusement, il s'éloigne.

Une douce mélodie envahit vos oreilles...

XII_L'aria d'un séraphin
Résumé : Duel de vitesse / Duel de force / Duel d'esquive


Il avait longtemps vécu comme un retiré, c'est pourquoi son retour à la civilisation fut quelque peu difficile. Néanmoins, il avait fait preuve de naturel, et grâce à son habituelle assurance, il redevint bientôt un citoyen normal... Hormis certains de ses vêtements. Un de ses songes habituellement calmes fut le début d'une succession d'épreuves, avec à la clé quelque chose d'important, il en était persuadé. Mais il ne savait pas quoi...

Il lui arrivait d'avoir en rêve ce mystérieux opposant. Il lui arrivait de rêver de quelques merveilles de ce monde. Il lui arrivait de faire des rêves prémonitoires. Mais jamais il n'eût un rêve si réaliste. Bien sûr, tout ne restait que reflet d'illusions, mais pourtant, il voyait précisément les choses, et les ressentait avec une même ampleur que si elles eût été réelles. Il lui apparut ce qui lui paraissait le plus beau de tous les anges, dans un monde parfaitement vide. Aucune description ne semblait possible.

À peine avait-il eu le temps de regarder ses somptueuses pupilles que celui-ci se jeta sur lui le poing le premier. D'un geste souple, il glissa sur l'attaque et enfonça son poing aussi fort que possible dans son dos. Une cabriole plus tard, il était debout. Ainsi que l'autre.Il dépoussièra d'ailleurs ses épaulières d'une attitude neutre.

L'homme fit un vol plané. Il regardait l'Ange, et à l'instant d'après il s'était retrouvé dans les airs. Puis à terre. Son ventre lui faisait mal, mais il se releva cependant incontinent. D'un rien il esquiva le coup de pied sauté en sa direction, l'attrapa, et rejeta son adversaire à terre. Il fit un flip-flap arrière, dégaina son épée, et la lui écrasa sur l'échine avant de la retirer, modifier l'angle et... Trop tard, il s'était déjà pris un autre coup.

Dans son envol, il songea à la manière dont il devait vaincre un adversaire à la vitesse fulgurante. Il fit un salto en l'air, se posa délicatement. Des ailes apparurent dans son dos, tout comme une flamme de détermination dans son regard. Lui aussi, était un séraphin. Il ne pouvait encore aller aussi vite, mais il se sentait déjà plus léger, et lorsque son ennemi revint, il saisit son poing, et en faisant un tour sur lui-même, l'écrasa sur le sol. Là, il prit son envol, et redescendit à une vitesse vertigineuse. Il se doutait que l'Ange ne resterait pas indéfiniment au sol, aussi lorsque celui-ci esquiva au dernier moment, il modifia sa trajectoire. Et le percuta.

L'ange disparut, et aussitôt, un autre apparut. Avec la même forme, il restait impossible d'examiner ses traits. Ce qui le caractérisait désormais, c'était sa force prodigieuse. Il émanait de cette chose une telle aura que l'air autour de lui semblait brûler. Ses ailes rouges et ses yeux de la même couleur étaient clairement un signe de puissance. Mais il était lent... Lorsqu'il tenta un coup de poing - qui fendit de part et d'autre l'air - l'homme l'esquiva facilement et mit toute sa force dans sa jambe droite, qui heurta dangereusement ses côtes. En vain.

En conséquence, sa tête fut saisie, broyée, et lancée très loin. L'humain repoussa le sol de sa main droite et commença une succession de saltos destinés à le stabiliser. La chimère arriva à son niveau, et de toute sa force planta ses deux mains liées au creux de son ventre. Lorsque la victime rebondit, elle mit plusieurs secondes avant de retomber. La douleur était colossale. Tout se troubla. Il était dans son lit. Avec la même douleur...

À son retour aux pays des songes, il savait ce qui l'attendait. Le monstre était là aussi, et il passa prestement à l'assaut. Puisque ses coups étaient esquivés, il provoqua une onde de choc et se précipita vers celui qui lui faisait face. Ce-dernier sourit. Il ne reçut pas le monumentale coup qui lui était destiné, mais glissa dessus. Dansa. Il avait touché trois points faibles, qui ne reçurent malgré tout aucun dommage. Mais qui détournèrent suffisamment l'attention de la chose pour qu'elle ne ressentent pas les aiguilles qui s'étaient infiltrés dans ses oreilles. Bientôt elles devinrent opaques, bloquant les orifices, et faisant perdre l'équilibre à l'Ange.

Son remplaçant ne bougea pas. L'air autour de lui était semblable à une fumée épaisse. Mais il était légèrement plus simple d'apercevoir son apparence. Ses cheveux étaient bleus, ainsi que ses yeux. C'est tout ce qu'il eut le temps de voir avant de sentir dans son dos un mouvement. Un déplacement d'air pour être exact. Qui avait pour but d'attirer son attention. L'Ange n'était pas loin, mais juste à côté, et son attaque toucha le genoux. S'éloignant d'un flip-flap, il crut que son adversaire était tout proche. Il comprit alors.

Il prit son temps. Respira longuement, sans se soucier de son adversaire. Il aurait dû croire qu'il était derrière pour mieux se faire frapper à l'avant. Indifférent, il entama ce qui pourrait s'assimiler à une pyrrhique, déviant la trajectoire de la lame, et renvoya le coup avec deux fois plus de force. Bien sûr, celui-ci n'atteint pas sa cible, et ils enchaînèrent une longue séquence de coups ratés. Aux premiers signes de fatigues quelques-uns commencèrent à être encaissés, puis brusquement, il changea sa danse en un déchaînement de toute sa force. Projeté au loin, l'être ne put esquiver la lame portée par le vent. Sa première blessure fut la seule de ce combat, à la suite duquel les deux Autres revinrent.

Lumière de sagesse,
Être sans faiblesse,
Séraphin.

Le combat achevé, tout devint flou. La voix de celui qui s'était dressé comme compagnon d'entraînement résonna. Lui donnant enfin un but. Puisqu'il possédait des caractéristiques séraphiques, et puisqu'à présent il était assez puissant pour rejoindre leurs rangs, il se devait d'en faire ainsi. Si bien que quelques heures suivants son réveil, sa demande d'appartenance à la caste des séraphins fut prise en compte. Lorsqu'on lui demanda son nom, il eut un sourire nostalgique.

"Appelez-moi Namidakiel... Amrund Namidakiel."
Revenir en haut Aller en bas
http://www.zanar-requiem.com/anges-valides-f56/amrund-namidakiel
Narumi Ayumu
¤ Race Master ¤
Juge Suprême
¤ Race Master ¤Juge Suprême
Narumi Ayumu

Inscrit(e) le : 26/01/2008
Messages : 1494

| STAFF |
FONDATEUR
Messages RP : //
Statut RP : Chef ~ Monarque de l’Inquisition
Localisation RP : Palais de Justice
Vent
Capacité Spé. : Clairvoyance
Double-Compte : Aucun

Informations Personnage
Age: 19 ans
Animal: BYAKKO - Le Tigre Blanc
Pouvoirs & Armes:
Amrund Namidakiel Vide
MessageSujet: Re: Amrund Namidakiel   Amrund Namidakiel EmptyJeu 18 Déc 2008 - 23:03

Bonsoir et "BIENVENUE" à toi Ak' !
Enfin, c'est vraiment qu'une formule, ça hein ? xDDD

Bref, donc... Je t'ai déjà fais pas mal de commentaires sur ta Fiche, notamment via la CB Rolling Eyes
Pour reprendre un peu, je trouve ton Histoire excellente, et fort intéressante. Style d'écriture fluide et agréable, peu de fautes... Dommages que les parties concernant les Pouvoirs & Armes, ainsi que les Descriptions soient quelque peu "négligées", surtout en comparaison de l'Histoire tongue
Enfin, de toute façon, ton Histoire fait bien oublier tout détail "négatif" ! Bien adaptée au contexte et à ta situation, tout colle parfaitement. Merci à toi, d'ailleurs, pour les ajouts et modifications effectués. En somme, je le répète : le poste demandé t'es accordé !! (Suite à l'accord de Kyrris également ^^)


Ainsi :
Fiche VALIDEE !

Bravo et BON JEU sur Zanar Requiem Wink


>> Je t’ajoute :
    - ton Groupe = Anges
    - ton Rang = Mil / Séraphin -- Novice
    - ta Feuille de Personnage = Informations Personnage

[Sur ce, rendez-vous dans ce topic-ci pour débuter le RPG !]


/!\ N'oublie pas de comptabiliser TES "Messages RP" en modifiant le champ correspondant dans ton Profil /!\
Revenir en haut Aller en bas
http://www.zanar-requiem.com/presentations-f4/narumi-ayumu-chef-
Contenu sponsorisé




Amrund Namidakiel Vide
MessageSujet: Re: Amrund Namidakiel   Amrund Namidakiel Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

Amrund Namidakiel

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum: Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Zanar Requiem :: [Hors Jeu] Administration :: Présentations :: ANGES Validés -
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit