Kien El'Namaï
Lueur d'Espoir
Mil / Membre de l'Ordre
Inscrit(e) le : 25/01/2009
Messages : 1
INACTIF
Messages RP : 01
Localisation RP : Aucune
Capacité Spé. : Clairvoyance
Double-Compte : Aucun
Informations Personnage
Age: 17 ans
Animal: Aerandir, un aigle
Pouvoirs & Armes:
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 Sujet: El'Namaï Kien  Dim 25 Jan 2009 - 20:43 |
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Nom: El'Namaï
Prénom: Kien
Surnom: Ki-chan
Sexe: Masculin
Âge: 17
Animal (nom & espèce):
Un Aigle du nom d'Aerandir qui vient de temps en temps lui dire bonjour.
POSTE
• Classe: Militaire .
• Caste/Domaine (Mil & Civ): Ordre des Justes
• Statut RP (Mil & Civ): Unité Inférieur
• Rang/Dénomination: Membre de l'Ordre
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CAMP: BIEN
RACE: Juge
Capacité Spéciale (/!\ dépend de la race /!\): Clairvoyance
Pouvoir de la LUMIERE
ELEMENT: Vent
Pouvoir :
× L'Oeil de l'Aigle
De ses yeux jaunes et sombres, Kien est capable de voir autour de lui. Oui, autour. Même derrière lui, et tout ça sur un rayon de 50 mètres. Sa bonne vue peut-être autant utile en combat que pour pister ou fuir. D'autant plus de ça, il est capable de voir à travers certaines matières. Pas toutes, malheureusement. Par exemple, il peut détecter les pièges dans les murs de terre, les mines, et peux même voir à l'intérieur du corps de certaines personnes. Ce dont il ne peut pas voir à l'intérieur, c'est par exemple l'acier, le métal, etc...
Futurs Pouvoirs :
× L'Envol Royal
Plus tard, lorsqu'il aura trouver la particularité de ses pouvoirs, Kien pourra s'envoler tel un aigle, à une vitesse modérée bien sûr.
x Battement d'Aile
D'un geste de la main, Kien pourra lancer de puissantes rafales de vents sur ses adversaires. De ce fait, il peut aussi en faire des "lames d'air" aussi tranchantes que des rasoirs afin de blesser son adversaire au lieu de le repousser.
x Union de la Foi
Aerandir, une fois très lié à Kien, "fusionnera" avec ce dernier, augmentant donc sa vitesse, son temps de réaction, sa force, son endurance, son intelligence
Arme :
x Fütilen
Une dague, simple, rangée dans son dos derrière sa longue et épaisse cape. Sauf que, étant donné que Kien la prend à l'envers, le manche se trouve en bas et la lame en haut. La lame est longue de 40 centimètres à peine, et elle n'est pas plus épaisse qu'une épée. Elle s'arrondit à moitié et porte de nombreux symbole dessus.
Future Arme :
Fütilen aura juste le pouvoir du vent à ses côté, ce qui emplifira les dégâts causés par cette dernière, et pourra lancer des bourrasques de vent très puissantes.
Histoire :
I. Descendance
Kien naquit au sein d'une famille de Noble. Les El'Namaï, vivant dans une grande ville et étant réputé pour leur bravoure et leur courage, s'était fait un nom dans la région dans laquelle ils habitaient. A l'époque de certaines guerre, ce furent les El'Namaï qui parvinrent à résoudre le problème. Certains forment aussi la police de leur ville, et leur capacités en magie et au combat font d'eux de redoutables combattants. Parmis cette famille, il y avait un homme, surement un des plus célèbres : Shokûn. Shokûn avait participé à de nombreuses bataille en s'en sortant avec une simple égratinure. En plus d'être fort et de posséder un don îné pour le combat au sabre, il était beau et intelligent. Convoité par de nombreuses femmes, mais cependant bien trop jeune pour penser aux mariages arrangés, il se donna corps et âme a son entrainement dans le combat. Son maitre né'tait autre que son père, Bayokaj. Lui aussi s'était forgé un nom à l'époque, et avait laissé son emprinte parmis les plus célèbre El'Namaï. Le point fort de Bayokaj était la magie : il en connaissait les moindre secret et était capable de provoquer une tempête rien qu'en claquant des doigts. Shokûn, préférant utiliser la voie de la lame pour parvenir à ses fins, s'interessait plus au combat sur le front, au corps à corps.
Beaucoup d'années passérent avant que Shokûn ne trouve la femme parfaite : Jessame. Leur rencontre se fit un peu à l'improviste : Pendant que Shokûn s'arrangeait pour empêcher quelques brigants détruire les étalages de commerçants, le guerrier protégea la jeune femme d'un coup mortel. Cette dernière lui devant sa propre vie, elle décida de le servir jusqu'a sa propre mort. Shokûn insistait pour dire que celà était grandement inutile, car il n'avait fait que son devoir. Mais plus le temps passait, plus il se rapprochaient. Jessame était d'une famille de commerçant, et elle n'avait aucun sang noble dans les veines ; ceci n'empêcha pas Shokûn de l'épouser et de lui faire un enfant. Quelque mois plus tard, Kien arriva au monde...
II. Coup bas
La venue du petit Kien s'était répandue dans toute la ville : Beaucoup attendaient que cet enfant devienne un jour comme son grand père l'a été, et surtout comme son père. Aussi courageux, fort et intrépide que lui. Ravis par ces applaudissement et ces félicitations, ses parents le chérir jusqu'a ses 7 ans. En effet, la coutume des El'Namaï exigeait que l'apprentissage des enfants devaient se faire très tôt. Logiquement, on les initiaient à la magie dès l'âge de 5 ans, le combat ne venant qu'après. Cependant, Kien fit exception à la régle. Pas parcqu'il était fils de prince, non, mais à cause de ses aptitudes physiques. Son corps était bien trop frêle et fragile pour supporter les efforts que coutait la magie pour le corps. Et même encore à 7 ans, Kien avait encore du mal. Il commença donc à apprendre la magie et le maniement des épées à l'aide de son père. Ce dernier, bien décidé à faire de son fils une légende parmis les villageois comme lui, exigeait enormément de son fils. Si bien qu'au bout de quelque heures de pratiques seulement, il s'écroulait de fatigue. Rapidement, Shokûn prenait peur pour l'avenir : et si son fils n'était pas comme lui ? S'il était trop faible pour devenir un combattant digne de la famille El'Namaï ? S'il n'était pas capable de reprendre le flambeau de son père comme étant un guerrier renommé et respecter de tous ? Mais ces peurs ne se propageait pas qu'a la résidence de la famille ; Dans le village aussi, on parlait de lui. Certains villageois commençait même à insulter Shokûn et Jessame. Les dires allaient et venaient, et les rumeurs fusaient de tout les coins.
Un jour, alors que Jessame était de sortie pour voir ses parents (bien qu'elle résidait dans la demeure des El'Namaï, elle passait de temps en temps voir ses parents dans le village, toujours tenant leur commerce), elle se fit dévisager du regard par les habitants. Tout le monde l'observait, mais pas d'admiration ou de respect : de peur et de dégout. Elle se fit même importuner et attaquer sur la grande place du village. Prenant compte du danger, Shokûn confia Kien aux soins de son grand père et parti dans le village pour porter secours à sa femme, accompagner de son frère Nobuhime et du fils de ce dernier, déjà assez grand pour combattre seul, Huinak. Lorsque la petite troupe arriva sur place, Jessame avait été gravement blessée au bras : le sang s'étalait sur sa longue robe royale, et elle était salie par l'attaque des ivrognes. Fou de rage, Shokûn ne fit pas attention aux conséquences de l'avenir et tua plusieurs hommes. Certes, c'était des ivrognes, mais certains étaient avant tout des pères... La petite troupe ramena Jessame à cheval à leur demeure, sous les yeux horrifiés des villageois. Désormais, ils le savaient tous : ils ne pouvaient plus compter sur la protection des El'Namaï, pas après ce qu'ils venaient de faire...
De retour au chateau, une importante réunion eu lieu : ce qui venait de se produire affligerait à coup sûr la réputation des El'Namaï, et les plus important membres devaient à présent se réunir afin de trouver une solution. Plusieurs chevalier à la peau claire et aux yeux jaunis entraient dans une grande salle, avec au bout Bayokaj. Parmis eux, il y avait bien entendu Shokûn, l'éventuel coupable de ce coup dur, ainsi que quelques cousins, frères, soeurs, tantes et oncles...
« Shokûn, tu n'aurais pas dû t'emporter ainsi. »
« Alors qu'aurais-je dû faire ? Laisser Jessame mourir sous les mains de ces ivrognes, impuissant face à la mort de ma propre femme ? »
« Tu sais aussi bien que nous la cause de tout ces malheurs... »
« ... Kien ? »
« S'il n'avait pas été là, jamais Jessame n'aurait pu être traité de la sorte face aux villageois. »
« FOUTAISES ! Il n'a que 7 ans, n'allez pas dire qu'il est responsable de quoi que ce soit ! Mon fils n'est pas un faible, et il se battera pour obtenir une puissance digne des El'Namaï ! »
« Shokûn. Jamais Kien ne deviendra un El'Namaï... »
Ces paroles avaient affligé non seulement son père, mais aussi le concerné... En effet, Kien avait tout entendu : il souhaitais participer à la réunion, mais on le lui a interdit. Il a quand même désobéit, et celà, il le regretta amérement... Furieux contre lui même, le jeune garçon se réfugia dans sa chambre. Mais il n'avait pas eu le temps de pleurer sur son sort qu'un son lourd avait retenti. Un homme avait forcé la porte de sa chambre. Un homme sinistre, qui dégageait une aura de terreur. Un Démon...
Kien se leva et fit face à la créature. Prenant son courage à deux mains, il saisissa un baton d'entrainement, et se rua tête perdue sur la créature. Il porta un coup dans le vent cependant, et il reçu un choc violent derrière la tête. Il s'écroula au sol, incapable de se relever. Il n'eut le temps que de voir une horde de villageois furieux dévaler les couloirs du chateau, par la porte entre-ouverte de sa chambre, avant de perdre définitivement connaissance...
III. Héritage
Lorsqu'il repris ses esprits, Kien était allongé sur le sol froid. Il observa rapidement les alentours : murs détruits, quelques gouttes de sang... Il ne savait pas où il était. Il se leva lentement, encore abassourdi par le coup qu'on lui avait porter sur le crâne. Puis en observant de plus près, il savait où il était : il se trouvait dans sa chambre. Tout de suite pris de folie, il se rua vers le couloir. Là, ce fut pire : Des cadavres, à pertes de vue, longeait sur le sol. Des cadavres de paysans, mais aussi des El'Namaï. Appeuré, au bord des larmes, Kien avança malgré tout dans cette marre de sang. Il se dirigea vers la chambre de ses parents, là où sa mère avait été mise sous surveillance avec les premiers soins depuis qu'elle avait été blessée dans la ville. Là, une vision d'horreur et un frisson lui parcourut tout le corps : sa mère avait le corps ensanglanté, ainsi qu'une autre personne qui était étendue sur le sol non loin d'elle. Son père, armé d'une épée dans chaque mains, n'était plus qu'un corps sans vie. L'albinos s'écroula sur le sol, pleurant comme il n'avait jamais pleurer, et se sentit coupable de son impuissance.
Il sentit une main chaude sur son épaule. Surpris, il se retrouna, et vit son grand père, saccrément ammoché, qui ne tenait plus que par la force de ses bras et de son baton. Il lui fit signe de venir, mais Kien était encore trop sous le choc pour bouger. Son grand père l'aggripa par le bras, et le traina de force vers un souterrain mystérieux. Il marchèrent tout les deux des heures, avant de voir la lumière du soleil s'abbatre sur leur visage. Lorsque Kien tourna la tête, il remarqua que la ville était déjà loin, une fumée sinistre s'échappant du chateau des El'Namaï...
Les années s'enchainèrent, et Bayokaj, son grand père, le pris sous ons aile et lui dévoila de nombreuses chose sur l'attaque : son père qui avait tenter de protéger sa femme tout en essayant de rejoindre son fils du Démon qui était venu, les villageois qui se lançaient à corps perdus dans la bataille contre les El'Namaï, la chutte des cousins et cousines... Encore plus coupable, Kien décida de travailler dur afin de devenir réélement un El'Namaï, et reprendre le fardeau de son père, comme étant un guerrier de légende...
Description Physique :
Vous vous dîtes sûrement à quoi peut bien ressembler d'aspect ce jeune garçon ? Pas grand chose à en tirer : Kien est un albinos, et comme tout les albinos, sa peau est extrêmement blanche. Contrairement à d'habitude, ses yeux sont cependant jaune, aussi brillant que du diamant. Ses cheveux aussi sont à la fois sombre et clair, d'un gris qui fait bien contraste à tout le reste de son visage. Ses yeux se ferment à moitié et sont parfois cachés par ses long cheveux. Pour parler de sa corpulence, il est plutôt quelqu'un de petit pour 17 ans, car il ne mesure que 1m68. Il n'est pas gros non plus, limite anorexique, et ses larges vêtements laisse croire qu'il est "normal". Cependant, l'habit ne fait pas le moine, car malgré son physique assez limité, Kien est très rapide et très resistant. Il est capable d'enchainer les grandes distances et les longs combats sans aucun soucis. Tient, je parlais de vêtements : il ne porte que des vêtement larges, avec des vestes souvent à capuche et a fermeture éclair, qui lui tombe jusqu'au genoux, et qui cache par la même occasion sa dague dans son dos. Il a aussi une longue écharpe qui vole au vent derrière lui, mais il ne la met vraiment que très rarement (qu'il fasse froid ou pas...).
Description Psychique :
Ce qui se cache derrière la tête de ce petit albinos est encore plus inperceptible que n'importe quelle caparace. Lui-même, il ne sais même pas ce qu'il pense. Il a souvent tendance à oublier ce qu'il faisait il y a quelque minutes, et parfois il parle sans avoir réfléchis avant. C'est un gros défaut chez lui, le fait qu'il change d'opinions sans arrêt. Par exemple, il peut très bien être doux comme un agneau durant un instant, et il suffit d'un rien pour qu'il s'irrite et devienne aussi agressif qu'une mère qui protége ses petits. Et c'est toujours trop tard qu'il se rend compte de ses changement si brutals de comportements. Mais il a une vision des choses très claire sur ce qui l'entoure. Il n'y a que chez lui que c'est la confusion la plus totale. Prenons un exemple tout bête : un enfant se retrouve perdu, et il pleure au beau milieu de la rue. Kien sait que son devoir sera d'aller aider cet enfant afin qu'il retrouve sa mère. C'est sur ce genre de chose là qu'il sait ce qu'il pense et ce qu'il fait. Ca explique par moment son tempérament fuyant et triste. Son passé y est aussi peut-être pour quelque chose, mais après tout, tout les El'Namaï sont comme ça.
Qualités :
A l'écoute
Persuasif
Resistant
Rapide
Défauts :
Distant
Inperceptible
Changeant
Passif
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Pourquoi vous êtes-vous inscrit sur Zanar Requiem ?:
Le Contexte me plait et l'ambience à l'air sympa, donc pourquoi pas essayer ? =]
Est-ce un Double-Compte ?: Nan
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